Dialogue en facile en français : à la gare -Un dialogue facile en français : chez le vendeur des tissus-3 dialogues en français facile pdf; un dialogue en français pdf: Comment demander le prix .?-Dialogue en français dans une administration; Un dialogue chez : (le marchand de fruits et légumes - chez le fromager- le traiteur ) Livres à télécharger Pour partager cette vidéo sur les réseaux sociaux ou sur un site, voici son url Sujets que vous pourriez aussi aimer Débuter avec Word - Créer un premier courrier Dans ce support, nous allons voir comment réaliser un premier courrier sobre mais à l'allure professionnelle. Pour ce faire, nous allons utiliser les outils que Word met à disposition. Ainsi nous réaliserons de la mise en forme de texte avec les boutons du ruban Accueil. Nous aérerons la présentation grâce aux fonctions Word pour les paragraphes. Tout d'abord démarrer Word, Vous pouvez trouver l'icône du programme Microsoft Word dans le menu Démarrer, sur le bureau ou encore sur la barre des tâches en bas de l'écran. Lorsque Word s'affiche, il vous propose de récupérer des documents récents, d'en ouvrir d'autres ou encore de débuter de nouveaux travaux à partir de modèles déjà mis en forme et mis en page. Ici nous débutons, donc nous allons au plus simple, en partant d'un document vierge. Cliquer sur la miniature du document vierge comme l'illustre la capture, La page vide matérialisant la feuille de papier apparaît au centre de l'écran. Une petite barre verticale clignote au début de la page. C'est ce que l'on appelle le point d'insertion dans Word. Le point d'insertion est l'endroit où reprend la saisie. D'ailleurs si vous tapez quelques lettres au clavier, vous le constaterez et le point d'insertion se déplacera après le dernier caractère entré. Vous remarquez aussi la présence d'un symbole après le point d'insertion. Il s'agit d'une marque de paragraphe. Une marque de paragraphe est un caractère masqué. Cela signifie qu'il ne s'imprime pas. Comme tous les caractères masqués, il aide à la conception d'un document. Les caractères masqués doivent toujours être affichés pendant le travail. Pour ce faire, assurez-vous que le bouton des caractères masqués est bien activé sur le ruban. Il s'agit du bouton encerclé de rouge sur la capture précédente. De même, les règles Au-dessus et à gauche de la page doivent être présentes. Nous le verrons, elles sont très importantes pour la mise en forme des paragraphes. Si vous ne les voyez pas, cliquez sur la rubrique Affichage en haut de l'écran. Ainsi vous activez le ruban Affichage. Cochez alors la case Règle. N'oubliez pas de revenir sur le ruban Accueil. Il s'agit du ruban qui dispose de toutes les fonctionnalités de mise en forme de texte et de paragraphe. Pour débuter, nous allons récupérer un texte tout prêt. En effet le but des manipulations ici n'est pas de s'entrainer à la saisie. Télécharger le fichier en cliquant sur ce lien, Cliquer sur le ruban Insertion pour l'activer, Cliquer sur la flèche du bouton Objet tout à fait à droite de ce ruban, Dans la liste, choisir Texte d'un fichier, Dans la boîte de dialogue qui s'affiche, vous devez vous placer dans le dossier où vous avez téléchargé le fichier texte. A l'aide de la liste, en bas à droite, se placer sur Fichier texte *.txt, Cliquer sur le fichier Puis, cliquer sur le bouton Insérer en bas à droite, Cliquer sur Ok dans la nouvelle boîte de dialogue qui apparaît, Le texte à l'apparence très basique est bien inséré dans votre document. Vous pouvez aussi remplacer les manipulations précédentes en copiant et collant le texte. Cliquer sur le ruban Accueil pour revenir sur les fonctionnalités de mise en forme, Nous allons commencer par modifier la taille et le style d'écriture du texte, c'est-à-dire la police. En effet, celle insérée par défaut n'est pas très flatteuse. C'est ce qu'on appelle de la mise en forme de texte. Mais pour mettre en forme un texte, il faut commencer par le sélectionner. Au clavier, enfoncer les touches CTRL et A pour tout sélectionner, Dans le ruban Accueil, fixer la taille de police sur 11 à l'aide de la liste déroulante, Puis, choisir la police Calibri Light comme l'illustre la capture ci-dessus, Notre texte est composé de paragraphes repérés par ces marques de paragraphe qui ressemblent à des notes de musique inversées, en fin de ligne. En l'occurrence, notre présentation est un peu étouffante, elle manque d'aération. Pour pallier le problème, nous allons ajouter de l'espace entre les paragraphes, et c'est très simple à faire. Dans la section Paragraphe du ruban Accueil, cliquer sur la flèche du bouton illustré par la capture ci-dessous, Puis, choisir Ajouter un espace avant le paragraphe, En temps réel la présentation s'aère. On y voit plus clair. Vous remarquez que l'espace a augmenté entre chaque paragraphe délimité par cette marque de paragraphe située en fin de ligne. Dans certains cas, ce n'est pas très adapté comme pour le texte de l'en-tête mais nous pallierons le problème ultérieurement. Revenons à l'en-tête. Le nom et le prénom s'affichent conventionnellement en Majuscules. Word propose un bouton pour changer cette casse. Sélectionner le texte ROSSETTI Stéphane, Le plus simple est de réaliser un simple clic avec la souris dans la marge du document, à gauche de ce texte. Cliquer dans la marge pour sélectionner ces deux mots, Puis, cliquer sur la flèche du bouton Aa dans le ruban, Dans la liste, choisir MAJUSCULES, Le texte étant toujours sélectionné Cliquer sur le bouton G en dessous de la liste des polices, Vous mettez ainsi le texte en gras et réalisez ce que l'on appelle de la mise en forme de texte. Notez que le raccourci clavier CTRL + G permet de réaliser la même mise en forme. Le support Word sur les raccourcis clavier vous donne toutes les ficelles pour ainsi manipuler le logiciel. Dans le secrétariat et l'administration, manipuler ces raccourcis est synonyme de gain de temps. Comme vous le remarquez, les lignes qui suivent sont trop écartées. En effet, nous avons aéré la présentation en augmentant l'espace entre les paragraphes. Un retour à la ligne exécuté avec la touche Entrée au clavier pendant la saisie provoque systématiquement la création d'un nouveau paragraphe. Mais il est possible d'imposer un retour à la ligne en restant dans le même paragraphe grâce au raccourci clavier MAJ + Entrée. On parle alors de saut de ligne. La touche MAJ est la touche située juste au-dessus de la touche CTRL. Placer le point d'insertion à la fin du texte de la première ligne Nom et prénom, Vous pouvez le faire en cliquant avec la souris ou encore en enfonçant la touche Fin du clavier qui permet de placer le point d'insertion en bout de ligne. Enfoncer alors la touche Suppr du clavier, Vous regroupez ainsi la première ligne avec la ligne du dessous. Puis réaliser le raccourci MAJ + Entrée, Vous provoquez ainsi un saut de ligne de manière à conserver le même paragraphe pour l'ensemble du texte. Du coup, l'espace entre les lignes est minimisé. En effet nous avions agrandi l'espace entre les paragraphes et non entre les lignes d'un même paragraphe. C'est l'interligne qui permet d'ajuster ce réglage. Réitérer cette opération pour les autres lignes de l'en-tête, Vous remarquez que la marque de paragraphe est remplacée par le symbole d'une flèche qui indique un retour à la ligne, le saut de ligne. Du coup, ces cinq lignes appartiennent au même paragraphe. C'est pourquoi il n'y a qu'une seule marque de paragraphe à la toute fin de ces lignes. De fait, il est plus simple de les sélectionner ensemble, nous allons le voir. Conventionnellement, dans un courrier de ce type, doivent figurer les informations de la société à laquelle on s'adresse, dans l'en-tête, mais sur la droite du document. Cela veut dire que sur une même ligne, les informations de l'expéditeur, nous, figureront à gauche et celles du destinataire, la société, figureront à droite. Ce sont les taquets de tabulation de Word qui permettent de réaliser cette mise en forme fractionnée, sous forme de colonnes. Le support de formation sur les taquets de tabulation enseigne toutes ces techniques. Pour réaliser cet alignement colonne, il faut premièrement poser un taquet de tabulation pour l'ensemble des lignes à sélectionner. Puis il faut envoyer l'information à la position définie par ce taquet grâce à la touche TAB du clavier. Cette touche est située en haut à gauche du clavier, au-dessus de la touche permettant de verrouiller les majuscules. Elle est matérialisée par deux flèches opposées. Sélectionner toutes les lignes de l'en-tête en double cliquant dans la marge, à gauche de ce paragraphe, Puis, cliquer sur la règle horizontale située au-dessus du document, à environ 11 cm, Vous remarquez qu'un petit symbole en forme de L apparaît désormais sur la règle. Il s'agit d'un taquet de tabulation. Placer le point d'insertion à la fin de la première ligne, après le texte ROSSETTI STEPHANE, Puis, enfoncer la touche TAB du clavier, Vous remarquez que le point d'insertion est renvoyé à 11 cm. Une petite flèche horizontale, indique ce renvoi. Il s'agit là encore d'un caractère masqué qui ne s'imprime pas. Saisir alors le texte pour le nom de la société, en majuscules, par exemple TRANS-EMBAL, Se placer à la fin de la deuxième ligne, Enfoncer la touche TAB, Réaliser la saisie de la capture, Et finir avec la troisième ligne. Nous obtenons un alignement colonne professionnel. Occupons-nous maintenant de la ligne de l'objet. Cliquer dans la marge sur la gauche de cette ligne pour la sélectionner, Vous remarquez l'apparition d'une petite barre d'outils contextuelle pour la mise en forme du texte. Elle permet au même titre que les boutons du ruban de changer la police, sa taille et de mettre en gras par exemple. La différence est qu'elle se place à porter de souris pour plus de confort. Mettre ce texte en gras et lui attribuer une taille 12 pour le faire ressortir, Cliquer ensuite sur le bouton Centrer de la section paragraphe du ruban Accueil, Vous centrez la ligne d'objet sur la largeur du document. En réalité vous la centrez entre les positions des retrait gauche et retrait droit situés de part et d'autre de la règle horizontale et matérialisés par des petits curseurs grisés. Le tutoriel sur la mise en forme des paragraphes dans Word vous enseigne ces techniques notamment. Nous souhaitons que tout le reste du texte de la lettre soit réparti de façon plus harmonieuse sur la largeur de la page. C'est l'alignement justifié qui permet de jouer sur les espaces entre les mots de façon à occuper au mieux l'espace entre les retraits. Sélectionner tout le texte restant en cliquant et glissant la souris depuis la marge de gauche sur la hauteur du texte sélectionné, Cliquer ensuite sur le bouton Justifier du ruban Accueil, Le texte apparaît plus équilibré et la présentation plus jolie. Occupons-nous maintenant de la dernière ligne du prénom et du nom qui précèdent conventionnellement la signature sur un document papier. Généralement, ce type de texte doit apparaître sur la droite du document. Nous n'allons pas utiliser l'alignement à droite car le texte serait positionné sur la limite de la marge et ce ne serait pas joli. Nous ne devons pas utiliser les taquets de tabulation. Ces derniers sont employés lorsqu'il s'agit de déporter une partie de texte d'une ligne à une position donnée. Lorsque tout le texte de la ligne doit se déplacer à une position définie, c'est l'outil retrait gauche de Word qui doit être utilisé. Sélectionner la dernière ligne, Cliquer et glisser le curseur du retrait gauche, depuis sa partie inférieure, jusqu'à 9,5 cm sur la règle, Comme l'illustre la capture ci-dessous, toute la ligne est transportée à cette position. Mettre ce texte en gras et en taille 12, Finalement, nous estimons que la mise en forme de la ligne d'objet n'est pas adaptée. Nous souhaiterions qu'elle soit alignée sur la position de cette dernière ligne. Nous n'allons pas refaire la mise en forme car il faudrait déjà supprimer l'alignement centré. Nous allons reproduire la mise en forme de cette dernière ligne sur la ligne d'objet grâce à l'outil matérialisé par un pinceau en haut à droite sur le ruban Accueil. La dernière ligne étant toujours sélectionnée Cliquer sur l'outil Reproduire la mise en forme, Puis, cliquer dans la marge de la ligne d'objet pour lui appliquer, Vous remarquez que la ligne d'objet récupère tous les attributs de mise en forme dont la position du retrait gauche. Cet outil est très intéressant pour reproduire à l'identique des aspects, rester homogène et gagner du temps. Il est temps de voir ce que donne notre document sans les caractères masqués. Cliquer sur le bouton des caractères masqués du ruban Accueil pour qu'ils ne soient plus affichés, Nous obtenons un rendu sobre et professionnel. Ne vous souciez pas des petits soulignements en rouge. Word suspecte une faute d'Orthographe et vous en alerte. En fait, il ne connaît tout simplement pas ces mots. Ces soulignements n'apparaissent pas à l'impression. Nous devons maintenant réaliser une version PDF de ce document si nous souhaitons le partager sur les réseaux professionnels ou le joindre par mail par exemple. Tout d'abord, nous devons enregistrer notre travail. Pour ce faire Cliquer sur le menu Fichier en haut à droite puis sur la rubrique Enregistrer sous, Cliquer ensuite sur l'icône du dossier jaune, Parcourir, Désigner un emplacement et taper un nom pour ce document, Cliquer sur Enregistrer, Vous êtes de retour sur votre document. Vous pouvez maintenant réaliser la version PDF. Cliquer de nouveau sur Fichier puis sur Exporter cette fois, Cliquer sur le bouton Créer PDF / XPS au centre, Une boîte de dialogue s'ouvre désignant le même emplacement que le fichier Word que vous venez d'enregistrer. Conserver l'emplacement et le nom et cliquer sur Publier. Le temps de se construire et de se charger, le document au format PDF apparaît à l'écran. Vous avez désormais une version professionnelle à partager ou à joindre dans un courrier électronique pour postuler. Cette version est une version lecture seule dont la mise en page ne peut donc pas se dégrader. Coupezles bavardages lorsque vous écrivez un dialogue. Gardez votre dialogue bref et percutant. Donnez à chaque personnage . Dites le dialogue à haute voix. Coupez les bavardages lorsque vous écrivez un dialogue. Gardez votre dialogue bref et percutant. Donnez à chaque personnage. Skip to content. Aguycalledbloke.blog. Guidelines for writing Poems,

Sujet du devoirLord Smiley a été assassiné! Tout accuse Charles Badminton il a été retrouvé à côté de la victime avec un pistolet dans une main et les bijoux de Lady Smiley dans l' un interrogatoire entre un enquêteur et le devrez jouer le dialogue deux fois, en échangeant vos devez faire seulement quand il est innocent car j'ai déjà fait quand il est j'en suis dans mon devoirPolicier - Sit down, What's your name ? Suspect - Mike Willson Policier - How old are you ? Suspect -I am thirty-seven years What do you do in your life ? Suspect- I work as a - Do you know Lord Smiley?Suspect - Yes, I work for - What did you do last night ? Suspect - I was cutting the grass in the park of Lord - It is impossible. A witness saw you in the home of Lord do you Explain that ? Suspect - Uhm, uhm. yes that's true. The last night, I was at with my boss because we should talk about my salary but I found dead. Policer - Why do you lie ? Suspect -Because, I don't want that my wife learn this. My boss do not want to pay - Since when you hide that to your wife?Suspect - Four months ago Policer - It's good you are free, I believe that you are innocent.

HauteEcole Libre de Louvain-en-Hainaut - Partager des pratiques en formation initiale Claire Dufour, 3e pédagogie primaire, HELHa Leuze-en-Hainaut – juin 2012 -Page 1 sur 24 Enigmes et enquêtes policières Type d’outil: activités de lecture visant à mettre les élèves en situation d'inférence. Auteur : Claire Dufour, étudiante en 3e pédagogie primaire, HELHa Leuze-en
Les pouvoirs de la police interception, fouille et perquisition Language Étape 1 Sélectionner une langue Étape 2 Sélectionner un mode de présentation Support, format, type de publication Habituellement, avant de pénétrer dans une résidence pour faire une arrestation, les policiers doivent obtenir un mandat à cette fin, et ils doivent dire qui ils sont et pourquoi ils souhaitent entrer. Cependant, les policiers peuvent pénétrer chez vous sans mandat ni permission pour arrêter quelqu'un ou mettre quelqu'un sous garde, lorsqu'ils ont des motifs raisonnables de croire que, selon le cas ils doivent entrer afin d'empêcher qu'une personne, qui est dans les lieux, soit blessée gravement ou tuée votre maison contient des éléments de preuve se rapportant à une infraction grave, et les policiers doivent trouver ces éléments immédiatement, sans quoi ces éléments risquent d'être perdus ou détruits Les policiers peuvent aussi entrer chez vous sans mandat ni permission s'ils se trouvent en situation de poursuite immédiate d'une personne qu'ils sont autorisés à arrêter. Un exemple de poursuite immédiate les policiers pourchassent une personne qui fuit la scène d'un crime et qu'ils ont vue entrer chez vous. Les policiers ont le droit d'entrer chez vous pour chercher des éléments de preuve si les conditions suivantes sont réunies ils ont des motifs raisonnables de croire que des éléments de preuve se trouvent chez vous, par exemple, des drogues ou des armes ils doivent agir immédiatement pour que la preuve ne soit pas perdue ou détruite Les policiers sont également autorisés à pénétrer chez vous dans l'un ou l'autre des buts suivants fournir des soins d'urgence à une personne qui est dans votre résidence protéger la vie ou assurer la sécurité d'une personne qui est dans votre résidence, s'ils ont des motifs raisonnables de croire qu'il y existe une situation d'urgence où une vie humaine est en danger protéger la vie ou assurer la sécurité des gens qui y sont, si quelqu'un a entendu un coup de feu provenant de votre résidence empêcher un incident qui pourrait être sur le point de se produire, s'ils ont des motifs raisonnables de croire que leur présence est nécessaire pour arrêter l'incident ou pour assurer leur sécurité ou celle du public enquêter sur un appel 911 aider la personne qui a rapporté l'agression familiale à emporter ses effets personnels en toute sécurité soustraire des personnes à des risques de blessures, si les policiers ont des motifs de soupçonner qu'il y a un laboratoire de stupéfiants sur les lieux fournir de l'aide à un animal qui se trouve en état de détresse pressante pour cause de blessure, de maladie, de mauvais traitements ou de négligence En vertu de la législation sur le bien-être de l'enfance, les policiers peuvent entrer chez vous sans mandat pour en retirer un enfant, s'ils ont des motifs raisonnables de croire que, selon le cas l'enfant est victime de négligence ou de mauvais traitements et a besoin de protection » l'enfant est un fugueur » ou une fugueuse » de moins de 16 ans, qui était sous la garde d'une société d'aide à l'enfance, et sa santé ou sa sécurité pourrait être menacée pendant le temps qu'il faut pour obtenir un mandat l'enfant a moins de 12 ans et a commis un acte qui constituerait une infraction s'il avait été âgé de 12 ans ou plus À moins de détenir un mandat, les policiers ne peuvent pas entrer chez vous pour vérifier si vous êtes une bonne mère ou un bon père pour votre enfant. Votre propriétaire a également le droit d'entrer dans votre logement en cas d'urgence. Le propriétaire peut demander à un agent de police de l'accompagner. À moins que vous n'ayez avisé la police de ne pas pénétrer sur votre propriété, des policiers peuvent se rendre sur votre propriété pour la protéger contre une activité criminelle présumée. Mentions Légales L'information juridique du présent site a un caractère général et est destinée aux résidentes et résidents de l'Ontario, au Canada. Les renseignements offerts ne doivent pas tenir lieu d'opinions juridiques concernant des problèmes de droit particuliers.
exemplede dialogue argumentatif entre deux personnes12 juillet 2020 fete. Energy Specialists and Project Managers. hôtel la pinede - sétif; Lettre Majuscule primaire; lettre o style ; peak walk diablerets; guerre et paix organigramme; Menu. exemple de dialogue argumentatif entre deux personnes. Posted on 4th August 2020 By . Ex1: les connecteurs temporels : « six heures, six
Michel Tabanou. — La violence fait toujours partie du répertoire de l’État », 2019 © Michel Tabanou Les images de l’agonie de George Floyd, étouffé par un policier de Minneapolis sous le regard impassible de ses collègues, ont déclenché une vague de protestation d’une ampleur inhabituelle aux États-Unis. Des centaines de milliers de personnes se sont réunies un peu partout sur le territoire pour dénoncer avec véhémence, parfois avec violence, le traitement discriminatoire des minorités par la police. Quelques jours plus tard, des dizaines de milliers de manifestants se rassemblaient à Paris et dans plusieurs villes françaises, à l’appel du comité Vérité et justice pour Adama, constitué en mémoire d’Adama Traoré, qui avait trouvé la mort en juillet 2016 après son interpellation par des gendarmes. Aux côtés de simples citoyens défilaient des personnalités politiques de premier plan, alors que le mouvement recevait le soutien de vedettes du cinéma, du football ou de la chanson. Il a même rapidement arraché au ministre de l’intérieur, M. Christophe Castaner, une mise en cause des pratiques d’étranglement et la promesse d’améliorer la déontologie des forces de l’ordre, particulièrement pour ce qui touche au racisme. L’ampleur de cette mobilisation comme son écho politique et médiatique contrastent avec l’histoire des luttes contre les violences policières. De Youssef Khaïf à Lamine Dieng, de Wissam El-Yamni à Ibrahima Bah, en passant par Zyed Benna et Bouna Traoré, Allan Lambin, Amine Bentounsi et bien d’autres, la liste est longue des jeunes des milieux populaires dont le décès est imputable, directement ou indirectement, aux forces de l’ordre. Entre janvier 1977 et décembre 2019, 676 personnes tuées par des agents de police ou de gendarmerie ont ainsi été recensées par le site Basta !, soit 16 par an en moyenne. La moitié d’entre elles avaient moins de 26 ans, et près de la moitié des affaires concernaient la région parisienne et les agglomérations lyonnaise et marseillaise 1. Les séquences de réaction à ces drames se répètent et se ressemblent le quartier dont est issue la victime s’embrase pour quelques nuits, les proches organisent des manifestations locales, puis commencent de longues années de batailles judiciaires portées par la famille et quelques militants tenaces, qui ne débouchent que rarement sur une condamnation des fonctionnaires mis en cause 2. Mais, jusqu’à une date récente, les efforts pour donner une assise plus large à ces initiatives étaient restés infructueux. Cette cause demeure impopulaire parce qu’elle concerne le plus souvent des mauvaises » victimes, défavorablement connues des services de police ». Leur disqualification par les autorités sous cette appellation comme l’exhibition complaisante par la presse de leurs antécédents pénaux éventuels créent un doute quant au déroulement des faits et renforcent le récit policier. Elles rendent également plus délicat le soutien de forces politiques ou syndicales de gauche, historiquement sensibles à la répression ouvrière, mais mal à l’aise vis-à-vis des plus rétifs à l’ordre salarial, qu’elles nommaient en d’autres temps le lumpenprolétariat. Ce malaise est aggravé par la distance qui s’est progressivement creusée entre ces organisations et les jeunes des cités, qu’elles ne sont plus capables d’intégrer dans leurs rangs et dont elles peinent à prendre en compte les conditions concrètes d’existence 3. De leur côté, les tentatives pour construire une autonomie politique des quartiers populaires, c’est-à-dire des structures capables de porter un autre discours sur ces derniers, n’ont pas connu de réussites autres que ponctuelles 4. Alors, comment expliquer la puissance des protestations de juin 2020 ? On peut évoquer la coïncidence du calendrier français avec la mort de George Floyd aux États-Unis et l’émotion que celle-ci a soulevée internationalement, sans doute fouettée par une hostilité assez générale envers M. Donald Trump et ses politiques. On peut également signaler le travail opiniâtre de militants comme ceux issus du Mouvement de l’immigration et des banlieues, MIB pour fédérer les dénonciations des violences policières, dont Mme Assa Traoré, la sœur d’Adama, a su devenir une porte-parole charismatique. Mais l’ensemble de ces raisons n’auraient peut-être pas été suffisantes sans l’extension d’une défiance envers les forces de l’ordre en dehors des cercles où elle s’exprimait traditionnellement. Théorie de la vitre brisée » L’étendue de cette défiance reste difficile à mesurer. Des sondages en révèlent des bribes. Comme celui publié par l’hebdomadaire L’Express 20 janvier 2020 — qui ne compte pourtant pas parmi les plus critiques de l’institution — révélant que seules 43 % des personnes interrogées faisaient confiance » aux policiers, que 20 % d’entre elles ressentaient de l’ inquiétude » face à eux et 10 % de l’ hostilité ». Des travaux scientifiques confirment cette tendance. Ainsi, une vaste enquête européenne réalisée en 2011 2012 portant sur 51 000 répondants établit que la police française est particulièrement mal perçue. Elle se classe 19e sur 26 en ce qui concerne le respect dont elle ferait preuve dans le traitement des personnes juste devant la République tchèque, la Grèce, la Slovaquie, la Bulgarie, l’Ukraine, la Russie et Israël 5. Tout manifestant a également pu constater que le slogan Tout le monde déteste la police » fait désormais partie du répertoire classique des cortèges. L’usage de la force, justifié ou non, est certes devenu plus visible. Les smartphones équipés de caméras numériques permettent de le documenter abondamment, et les réseaux sociaux de le diffuser. Au point qu’une trentaine de députés, relayant les demandes de syndicats policiers, ont essayé récemment de faire punir de 15 000 euros d’amende et un an d’emprisonnement la diffusion par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support, de l’image des fonctionnaires de la police nationale, de militaires, de policiers municipaux ou d’agents des douanes » Assemblée nationale, 26 mai 2020. Une mesure déjà adoptée en Espagne, après le vaste mouvement du 15-M, en 2011. L’action musclée des forces de l’ordre est également plus perceptible, car elle s’est déplacée des quartiers périphériques vers les centres-villes et touche désormais des populations qui n’étaient pas accoutumées à cette expérience. La crise des gilets jaunes », les défilés contre la loi travail ou la réforme des retraites, comme les contrôles opérés durant le confinement consécutif à la pandémie de Covid-19, se sont traduits par une augmentation considérable des victimes et des témoins des interventions policières, bien au-delà de ce que les sociologues appellent les gibiers de police » traditionnels 6. Et c’est sans doute cette extension de l’emprise policière sur nos sociétés qui permet de comprendre les résistances collectives qui se manifestent aujourd’hui. Pour expliquer ce mouvement, il convient d’abord de dissiper le mythe tenace que la police s’occupe exclusivement de lutter contre la délinquance. Hormis pour de rares unités spécialisées, cette tâche n’excède pas 20 % de son activité 7. Les policiers sont le plus souvent engagés dans la résolution d’une infinité de situations qui ne relèvent pas du pénal conflits de voisinage, domestiques ou concernant l’occupation de l’espace public, régulation du trafic automobile, renseignements administratifs, gestion des rassemblements publics, contrôle des migrations irrégulières, surveillance politique, appui à d’autres institutions des urgences médicales aux expulsions locatives, etc. Le sociologue américain Egon Bittner souligne ainsi qu’ il n’y a pas de problème humain, réel ou imaginable, dont on puisse dire avec certitude qu’il ne pourrait en aucun cas devenir l’affaire de la police 8 ». Celle-ci est donc moins une agence d’application de la loi — comme le suggère l’expression anglo-saxonne law enforcement agency — qu’une force de l’ordre, c’est-à-dire une institution consacrée au maintien d’un ordre social déterminé. Or, à partir des années 1980, la police est progressivement apparue pour nombre de gouvernants comme une solution magique pour affronter les conséquences du creusement des inégalités sociales et économiques, observable au sein des sociétés occidentales comme entre pays du Nord et du Sud. Avec des variations de chronologie et de ton, les thèmes de l’insécurité et des migrations irrégulières notamment se politisent, des partis politiques d’inspirations et de tendances différentes en faisant des chevaux de bataille électoraux. Les politiques sociales, de prévention et de développement, sans jamais être complètement abandonnées, cèdent progressivement la place à des approches plus sécuritaires, passant par le contrôle et la coercition. Dès lors, il s’agit moins de lutter contre les causes structurelles des inégalités perçues comme désirables par certains, hors de portée par d’autres que de discipliner les fractions de la population les plus indociles au nouvel ordre social néolibéral, interne et international. Michel Tabanou. — Maintien de l’ordre. Paris, 1er mai 2019 », 2019 © Michel Tabanou Parmi les rationalisations qui accompagnent cette dynamique, la théorie de la vitre brisée » occupe une place à part. Élaborée par deux universitaires américains, James Q. Wilson et Georges L. Kelling, elle laisse entendre que la tolérance envers les petits désordres urbains conduirait graduellement au développement de formes plus graves de criminalité 9. En dépit de son absence de fondements empiriques — Wilson concéda ultérieurement qu’il s’agissait d’une simple spéculation » The New York Times, 6 janvier 2004 —, elle connut une publicité planétaire après que M. Rudolph Giuliani, maire de New York de 1994 à 2001, et son chef de la police, M. William Bratton, s’en furent inspirés pour réformer l’action de l’institution. Des États-Unis à la France, en passant par le Royaume-Uni ou l’Espagne, deux voies complémentaires vont être privilégiées le durcissement de la répression pénale des petits délits de voie publique et le développement de mesures administratives à la légalité parfois contestable, telles que les arrêtés antimendicité, les couvre-feux pour les mineurs ou pour les bandes, qui permettent de verbaliser ce que les Britanniques appellent les comportements antisociaux » anti-social behaviours. La consommation d’alcool ou de drogue dans la rue, l’occupation de l’espace public, la fraude dans les transports, les jeux de hasard, la mendicité agressive », le lavage des pare-brise aux feux rouges, la vente ambulante de boissons fraîches, de copies de CD, de DVD, de sacs à main, de lunettes de soleil, de ceintures, etc., la prostitution de rue vont devenir des cibles privilégiées de la police. En effet, c’est principalement à cette dernière que les gouvernements confient la tâche de réguler la petite délinquance et les incivilités », grâce aux pouvoirs nouveaux qui lui ont été concédés. Comme l’indiquent Wilson et Kelling, la police peut effectuer des arrestations pour des motifs du genre “individu suspect”, “vagabondage” ou “ivresse sur la voie publique”, toutes accusations dénuées de signification légale solide. Or, si de telles charges existent, ce n’est pas que la société donne pour mission aux tribunaux de réprimer le vagabondage ou l’ivrognerie, mais bien qu’elle veuille fournir aux policiers des outils juridiques leur permettant d’expulser les indésirables de tel ou tel quartier, lorsque tous les efforts informels pour faire régner l’ordre ont échoué ». Toutefois, confier à une institution la résolution d’une question donnée n’est pas sans conséquences. Cela favorise en effet son cadrage de la situation et la prégnance de ses analyses. Les bureaucraties, rappelle le politiste américain Murray Edelman, ont tendance à construire les problèmes comme justifications des solutions qu’elles proposent 10 » il existe des visions institutionnelles, sédimentées dans leur histoire, sous forme de routines, de scénarios, de savoir-faire et de représentations qui s’imposent à leurs agents tant dans la formation que dans le travail au quotidien par les conseils et les rappels à l’ordre des anciens. Les policiers aiment répéter qu’ils ne sont pas des assistantes sociales » et valorisent la coercition. Ils vont donc réguler l’ordre urbain à leur manière, en mettant notamment en place des stratégies de harcèlement. Un commissaire des Mossos d’Esquadra, la police catalane, expliquait en entretien sa politique concernant les jeunes qui se rassemblent dans les espaces publics de Barcelone Tu vas sur la place, tu les engueules, tu leur mets un peu la pression et tu leur dis “Bon, je viendrai chaque jour. Et si demain tu es là, je te demanderai tes papiers, si tu consommes de l’alcool sur la voie publique, je ferai une procédure, si tu as du chocolat [cannabis] également.” Ce qui veut dire que, d’une manière ou d’une autre, on les fait partir. Ça permet de déplacer le problème. » Cette combinaison de répression et de bannissement de ceux perçus comme indésirables résume assez bien le sens pratique des forces de l’ordre pour remplir les missions qui leur sont assignées. Pourquoi obéit-on à la police ? Ces tactiques suscitent évidemment des résistances de ceux qui en sont la cible, sous forme d’insultes, de refus d’obtempérer et parfois de confrontations individuelles ou collectives, particulièrement là où le rapport de forces n’est pas en faveur des policiers. En France, le nombre d’outrages et de violences contre des dépositaires de l’autorité passe ainsi de 22 000 en 1990 à 68 000 en 2019, soit une multiplication par trois en trente ans. Face à cette situation, l’institution a réagi en dotant ses personnels de matériel défensif gilets pare-balles, grenades de désencerclement et offensif lanceurs de balles de défense [LBD], pistolets à impulsion électrique. Cet équipement a nourri les critiques d’une militarisation de la police, particulièrement manifeste dans les unités spécialisées comme les brigades anticriminalité BAC françaises. Leurs écussons, floqués d’images de prédateurs tigres, loups, lions, crocodiles, cobras, etc. veillant sur la ville endormie, éclairent le type de rapports à l’espace et aux populations qu’elles veulent incarner. La Street Crimes Unit new-yorkaise, dissoute en 2002 après avoir criblé de balles un jeune Afro-Américain désarmé, Amadou Diallo, avait même pour devise La nuit nous appartient » We own the night ». Développant des pratiques d’intervention agressive, ces unités sont responsables d’une large part des violences, parfois mortelles, reprochées à l’institution. On les accuse également de contribuer à un durcissement des tensions partout où elles sont déployées. De là le développement de stratégies complémentaires, nommées selon les pays police communautaire » ou de proximité », visant à rapprocher les policiers du public grâce à une présence visible des patrouilles à pied et à la création d’espaces de dialogue pour aborder les problèmes locaux. Ces expériences se sont heurtées au faible enthousiasme policier et à des contraintes budgétaires récurrentes, en raison du coût des effectifs nécessaires. Mais, là où elles ont été mises en place, elles ont contribué à renforcer la centralité de la police dans la régulation des rapports sociaux et à redéfinir ceux-ci comme une question de sécurité 11. Police répressive » et préventive » s’opposent donc moins qu’elles ne se complètent pour quadriller l’existence quotidienne de populations de plus en plus larges. Ces stratégies ont-elles tenu leur promesse de juguler les petits désordres urbains ? À l’évidence non. Mais pouvait-on sérieusement croire qu’elles y parviendraient sans agir sur leurs causes profondes ? Nombre de policiers en sont d’ailleurs conscients, lorsqu’ils évoquent en entretien un tonneau des Danaïdes ». Pour autant, cet échec n’a pas infléchi les options choisies par les gouvernants. Il a au contraire conduit à une fuite en avant sécuritaire, dont l’institution s’est saisie pour revendiquer toujours plus de moyens d’action. Le choix politique de faire des forces de l’ordre le fer de lance de la défense de l’ordre urbain a en effet réévalué leur position dans le champ bureaucratique et placé les gouvernements dans une relation d’interdépendance défavorable. Ce phénomène est particulièrement accentué en France ou aux États-Unis lire Un pays miné par les homicides policiers » par l’existence de puissants syndicats corporatistes. Avec un taux de syndicalisation de près de 70 % contre 19 % pour la fonction publique et 8 % pour les salariés du privé, la police française est, de loin, la profession la plus organisée. Structurés par corps gardiens, officiers et commissaires, ces syndicats jouent un rôle important dans l’évolution des carrières. En raison du devoir de réserve, ils sont également les seuls à pouvoir émettre une parole dans les médias notamment, en dehors, bien entendu, des autorités hiérarchiques — ce qui limite l’expression publique des dissidences internes et renforce l’illusion d’une police qui ferait bloc. Cette force conduit à une cogestion de fait de l’institution, combinant négociation, exhortations publiques et actions collectives manifestations, arrêts-maladie, abandon des missions non urgentes ». Si elle n’est pas épargnée, la police a ainsi mieux su se protéger que d’autres services publics des réformes libérales, en termes de revalorisations statutaires et salariales ou de crédits de fonctionnement. Par exemple, lors de la réforme des retraites, en décembre 2019, il a suffi aux syndicats d’évoquer la possibilité d’un retrait pour obtenir immédiatement un régime dérogatoire, alors même que des centaines de milliers de salariés des transports, de l’hôpital, de l’éducation nationale, etc. enchaînaient les semaines de grève et de manifestations sans obtenir satisfaction de leurs revendications. De la même manière, l’institution contrarie efficacement tout ce qu’elle perçoit comme une remise en question de ses prérogatives. Les propos récents de M. Castaner sur l’interdiction possible des étranglements ont immédiatement déclenché des accusations de trahison » et des protestations localisées, amenant le ministre à reconsidérer sa position. Des épisodes similaires sont observables, depuis les manifestations contre le garde des sceaux Robert Badinter en 1983 à celles contre la loi sur la présomption d’innocence 15 juin 2000, en passant par les oppositions à la réforme de la garde à vue 14 avril 2011 ou de la contrainte pénale 15 août 2014. Cette hostilité à la critique s’exprime également par la résistance à tous les corps extérieurs qui pourraient assurer un contrôle sur son activité. Des autorités indépendantes comme la Commission nationale de déontologie de la sécurité CNDS, puis le défenseur des droits ou le contrôleur général des lieux de privation de liberté, ont dû livrer des batailles constantes pour exercer leurs missions, et leur champ d’action a toujours été restreint par rapport aux ambitions initiales. Cela vaut également pour la justice, mal à l’aise pour juger l’action policière, alors même que les magistrats en dépendent pour leur travail quotidien. Enfin, bien que crainte par les policiers, l’inspection générale de la police nationale IGPN apparaît bien plus encline à sanctionner les déviances internes qu’à instruire les plaintes qui viennent de l’extérieur. Sa directrice, la commissaire Brigitte Jullien, reconnaissait ainsi que, sur les 378 affaires dont elle avait été saisie dans le cadre du mouvement des gilets jaunes », deux seulement avaient donné lieu à des propositions de sanctions administratives Envoyé spécial », France 2, 11 juin 2020. La combinaison de cette autonomie de l’institution et du rôle central qui lui a été attribué dans la régulation de l’ordre social a transformé les rapports qu’entretiennent ses agents au reste de la société. Compte tenu des situations difficiles auxquelles ils sont professionnellement confrontés accidents, violences, conflits, misère, les policiers développent traditionnellement une vision assez pessimiste du monde social — un mécanisme similaire s’observant chez les pompiers 12. Celle-ci se couple avec des représentations négatives de ceux qu’ils surnomment leurs clients ». Ce qui donne d’ailleurs une clé d’entrée pour expliquer le racisme policier. Il existe bien une minorité d’agents idéologiquement convaincus des inégalités raciales et une tolérance pour leurs propos et leurs attitudes. Mais, pour nombre de leurs collègues, ce sont dans les relations rugueuses entretenues au quotidien avec certaines fractions des milieux populaires — dont une bonne part est issue des migrations ou des minorités — que se forgent des stéréotypes racistes qui s’appliquent ensuite par capillarité à tous ceux qui pourraient leur ressembler. Or, depuis une trentaine d’années, l’élargissement du spectre de l’action policière étend mécaniquement celui des groupes qui font l’objet de suspicion. Pour s’en convaincre, il suffit de consulter le fichier TAJ pour traitement d’antécédents judiciaires », dans lequel policiers et gendarmes enregistrent les personnes pour lesquelles il existe des indices graves ou concordants rendant vraisemblable qu’elles aient pu participer, comme auteurs ou complices, à la commission d’un crime, d’un délit ou de contraventions de cinquième classe » — un fichier qui ne laisse en rien présager des suites judiciaires qui seront apportées de suspects, donc, et non de coupables. Au 15 novembre 2018, 18,9 millions de personnes faisaient l’objet d’une fiche, c’est-à-dire près de 30 % de la population française… Sans grande surprise, les policiers français apparaissent comme les plus défiants d’Europe envers le reste des citoyens 13. Encouragés par les élites gouvernantes et par leur propre hiérarchie à se percevoir comme l’un des derniers remparts entre l’ordre et le chaos, ils n’hésitent plus à utiliser régulièrement des techniques qu’ils réservaient jusque-là à des délinquants plus endurcis. Le décès de Cédric Chouviat, un chauffeur-livreur, après qu’il a subi un étranglement, celui de Steve Maia Caniço poussé dans la Loire par une charge policière, l’usage massif des LBD contre des gilets jaunes » ou des manifestants contre la réforme des retraites, de même que les humiliations infligées à des lycéens comme ceux de Mantes-la-Jolie agenouillés, les mains sur la nuque, en décembre 2018, à des féministes ou à d’autres contrôlés durant l’état d’urgence sanitaire, relèvent certainement de cette dynamique. Celle-ci sape pourtant les fondements de l’autorité policière. Le secrétaire général du syndicat Unité SGP Police - Force ouvrière, M. Yves Lefebvre, déplorait récemment que la clé d’étranglement soit de plus en plus utilisée parce que de plus en plus de gens tentent de se soustraire aux contrôles de police » Libération, 8 juin 2020. Il posait sans s’en rendre compte une question centrale pourquoi obéit-on à la police ? La réponse est simple le degré d’obéissance à l’institution est proportionnel à la perception de sa légitimité. Or celle-ci n’est jamais donnée une fois pour toutes. Le droit pénal, expliquait le sociologue Émile Durkheim, protège les sentiments collectifs d’un peuple à un moment déterminé de son histoire 14 ». C’est-à-dire qu’il dessine les frontières morales d’une société, en distinguant une majorité d’ honnêtes hommes » d’une minorité de criminels ». La délégation accrue à la police de la gestion de l’ordre urbain, des flux migratoires et même de la contestation sociale et politique modifie le poids relatif des deux groupes. Dès lors, la netteté particulière » des sentiments collectifs dont parle Durkheim se brouille, et les policiers peuvent apparaître non plus comme les garants de l’intérêt général, mais comme les gardiens d’un ordre social jugé injuste par un nombre croissant d’individus. Moins obéis, ils emploient plus volontiers la force pour se faire respecter, ce qui creuse encore la défiance dont ils font l’objet. Qui, à son tour, renforce leur méfiance envers les citoyens et leur volonté d’étendre des dispositifs de sécurité. Ce cercle vicieux produit un profond sentiment d’asphyxie que les mesures de police sanitaire 20,7 millions de contrôles et 1,1 million de contraventions entre le 17 mars et le 11 mai 2020 ont porté à son paroxysme. Résonnant avec l’étouffement physique de George Floyd, celui-ci s’exprime aujourd’hui dans les mobilisations sous le mot d’ordre fédérateur de Laissez-nous respirer ! ».
Lesforces de dĂ©fense et de sĂ©curitĂ© () ont apprĂ©hendĂ© dans la nuit du 31 au 1er au quartier PK 5 un individu jugĂ© suspect (supposĂ© liĂ© aux rĂ©bellions). Au moment de le conduire au commissariat central, il a sautĂ© du vĂ©hicule. Dans la course poursuite qui a suivi il a Ă©tĂ© abattu a affirmĂ© la source, ajoutant qu’au cours des affrontements de mardi matin un policier est mort. L’arrestation d’un NĂ©erlandais soupçonnĂ© du meurtre d’une femme au PĂ©rou, Ă  l’issue d’une Ă©troite collaboration entre les Bureaux centraux nationaux INTERPOL de Lima et de Santiago, avec le concours du Centre de commandement et de coordination de l’organisation, opĂ©rationnel 24 heures sur 24 au siège du SecrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral Ă  Lyon, a Ă©tĂ© qualifiĂ©e par le chef de l’organisme mondial de police de  parfait exemple de coopĂ©ration policière dans le cadre d’une enquĂŞte internationale Â».Joran Van der Sloot, 23 ans, a Ă©tĂ© expulsĂ© vers Lima vendredi ; la veille, il avait Ă©tĂ© arrĂŞtĂ© par la police chilienne dans la ville cĂ´tière de Viña del Mar, après que le INTERPOL du PĂ©rou ait averti la communautĂ© policière internationale qu’il Ă©tait recherchĂ© en relation avec la mort de Stephany Flores Ramirez, 21 ans, dont le corps a Ă©tĂ© dĂ©couvert dans un hĂ´tel de Lima le mercredi 2 juin. Cette affaire se rĂ©vèle un parfait exemple de coopĂ©ration policière internationale, conjuguant la collaboration et l’action des Bureaux centraux nationaux INTERPOL sur le terrain et leur capacitĂ© Ă  Ă©changer en temps rĂ©el des informations relatives aux personnes recherchĂ©es grâce Ă  notre Centre de commandement et de coordination et Ă  notre service de soutien aux enquĂŞtes sur les malfaiteurs en fuite, Ă©tablis Ă  notre siège de Lyon Â», a dĂ©clarĂ© le SecrĂ©taire GĂ©nĂ©ral d’INTERPOL, M. Ronald K. Noble. L’arrestation de Van der Sloot fait honneur aux services chargĂ©s de l’application de la loi du Chili et du PĂ©rou ; elle dĂ©montre une nouvelle fois la force et l’efficacitĂ© de la coopĂ©ration policière internationale lorsqu’il s’agit d’obtenir des informations en vue d’identifier, de localiser et d’arrĂŞter des malfaiteurs en fuite en tout point du globe Â», a ajoutĂ© M. une autre affaire, Van der Sloot est toujours considĂ©rĂ© comme suspect par les autoritĂ©s d’Aruba en relation avec la disparition sur cette Ă®le des CaraĂŻbes, le 30 mai 2005, de Natalee Holloway, une citoyenne amĂ©ricaine alors âgĂ©e de 18 ans. INTERPOL avait publiĂ© un avis international de recherche de personne disparue notice jaune Ă  la suite de la disparition de la jeune fille ; cet avis est toujours Van der Sloot n’a jamais Ă©tĂ© accusĂ© de cette disparition, mais les autoritĂ©s de l’Alabama ont dĂ©livrĂ© un mandat d’arrĂŞt Ă  son encontre pour des faits d’extorsion et d’escroquerie par la voie Ă©lectronique dans le cadre de l’affaire.
Définitionsde dialogués, synonymes, antonymes, dérivés de dialogués, dictionnaire analogique de dialogués (français) Publicité français rechercher: définitions synonymes traductions dictionnaire analogique Littré wikipedia anagrammes mots-croisés Ebay . dialogues. masculin pluriel de dialogue; 2 e personne du singulier (tu) du présent de l'
Objectif Savoir identifier le genre policier. 1. Les caractéristiques du récit policier a. Définition On appelle récit policier, un texte narratif un roman ou une nouvelle dans lequel une énigme meurtre, vol, etc. doit être résolue. Dans le cadre de cette énigme, une enquête est ouverte et est menée par un détective ou un inspecteur qui doit l’élucider. b. Le but Un récit policier a du succès s'il réussit à maintenir le lecteur en haleine. Pour cela, l'auteur utilise ce qu'on appelle le suspense. On parle de suspense quand un péril grave menace un héros ou une population. Ex. Un tueur en série se livre à de nombreux crimes et il faut absolument trouver le coupable avant que d’autres crimes ne soient commis. 2. La fonction des personnages Dans le récit policier, chaque personnage occupe une fonction bien précise. a. Le rôle principal Il est tenu par le détective ou l'inspecteur chargé de mener l'enquête. Ce personnage est souvent très peu décrit ; il est lui–même assez mystérieux. Ex. de détectives célèbres Hercule Poirot dans les romans d'Agatha Christie, Sherlock Holmes dans les romans de Conan Doyle et Nestor Burma dans les romans de Léo Mallet. b. Les rôles secondaires Ils peuvent être assez nombreux suivant la difficulté de l'enquête, mais sont toujours au moins au nombre de trois Le peut être un assassin, un voleur, un cambrioleur, etc. Certains criminels sont devenus célèbres, comme Arsène Lupin dans les romans de Maurice Leblanc et Chéri–bibi dans les romans de Gaston Leroux. Le témoin ou suspect. La victime. 3. Le rythme du récit a. Les dialogues Dans le récit policier, les dialogues sont d'une grande importance notamment dans l'interrogation des témoins. b. Le rythme rapide Afin que le lecteur ne s'ennuie pas, le rythme utilisé est souvent rapide les paragraphes sont plutôt courts, les constructions de phrase et le vocabulaire simples. c. La progression par hypothèses Dans un récit policier, le détective ou l'inspecteur avance progressivement dans son enquête. Il avance en émettant des hypothèses qui vont par la suite s'avérer vraies ou fausses. L’essentiel Le récit policier appartient au genre narratif parce qu'il raconte une histoire. Cette histoire a ses particularités un crime est commis et une enquête est aussitôt ouverte, confiée à un inspecteur ou un détective qui doit la mener jusqu’à la résolution de l'énigme. Afin de ne pas lasser le lecteur, le rythme est souvent rapide et le recours au suspense le maintient en haleine tout au long du récit. Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours ! Pendantune action à Barcelone, des journalistes ont filmé un dialogue entre un policier et un garde forestier catalan arrivé à la manifestation en uniforme pour soutenir les manifestants. À la question du policier de savoir pourquoi un garde forestier, lui aussi fonctionnaire, n’était pas du côté des forces de l’ordre mais des indépendantistes, []
Publié le jeu, 10/06/2021 - 1013 Modifié le jeu, 10/06/2021 - 1013 Le commissariat urbain de la Police nationale congolaise PNC de Beni Nord-Kivu interdit strictement toute circulation au-delà de 22h00’ 20h TU. Toute personne retrouvée sur les lieux publics au-delà de cette heure piéton, motocycliste ou conducteur de véhicule sera traquée comme ennemi et interpellée, a-t-il averti. Selon le chargé de communication de la police au commissariat urbain de Beni, Nasson Murara, espère que cette mesure permettra aux éléments de la police de mener à bien leurs opérations heures de couvre-feu sanitaire, afin de faire respecter la décision du Chef de l’Etat en matière de prévention de la maladie à Coronavirus. Cette troisième vague, par exemple en Ouganda pays voisin, ville de Beni voisine à l’Ouganda, il y a déjà un confinement. C’est pourquoi, la police nationale congolaise/commissariat urbain de Beni a jugé bon d’appliquer strictement la décision instaurant un couvre-feu à partir de 22h00 chaque jour. Donc toute personne qui va se retrouver à l’extérieur à partir de 22h00 sera traquée comme ennemi. Même les motocyclistes, même les gens qui sont véhiculés, ils doivent être à la maison à partir de 22h00. Donc à 20h00, les éléments doivent être sur terrain pour sensibiliser, 21h00 on sensibilise, à 22h00 on procède maintenant à l’application stricte de cette décision », a-t-il fait savoir. Lire aussi sur Recevez Radio Okapi par email Donnez votre adresse email dans ce formulaire afin de recevoir tous nos articles dans votre boîte email. Vous recevrez un message de confirmation avec un lien sur lequel il vous faudra cliquer afin que l'envoi d'emails devienne vous ne voyez pas l'email de confirmation dans votre boîte de réception, allez chercher dans vos spams et marquez le message comme "non spam". Dans la même catégorie
CUVKPLk.
  • q6njzykrwo.pages.dev/378
  • q6njzykrwo.pages.dev/142
  • q6njzykrwo.pages.dev/314
  • q6njzykrwo.pages.dev/187
  • q6njzykrwo.pages.dev/214
  • q6njzykrwo.pages.dev/160
  • q6njzykrwo.pages.dev/8
  • q6njzykrwo.pages.dev/36
  • q6njzykrwo.pages.dev/101
  • exemple de dialogue entre un policier et un suspect