La 11 division SS Nordland La division Nordland est formée suite à une directive de Heinrich Himmler du 11 février 1943, réorganisant les légions de volontaires d'Europe du nord servant dans la waffen-SS au sein d'une même formation. Cette note explique que la nouvelle division comportera essentiellement trois régiments d'infanterie, qui prendront les noms de Nederland, Danmark et Norge. Quand à la division elle-même, Himmler propose de l'appeler retenu, cette 11° division recevra finalement le 17 mars le nom de Nordland. Cette division serait alors associée avec la Wiking pour former le tout nouveau III. germanisches SS-Panzerkorps. La mise sur pied de cette 11. SS-Division débute en mars 1943 au camp d'entraînement de Gräfenwöhr. Le noyau en est est constitué par le SS-Panzergrenadier Regiment Nordland, détaché de la division Wiking et les Freiwilligen Legion Norwegen et Freikorps Danmark. Afiche de recrutement du régiment Norge à l'époque encore un bataillonUn troisième régiment devait être formé à partir de la Freiwilligen Legion Niederland, mais cette dernière formera une brigade indépendante à 2 régiments, la Nederland. Le premier commandeur de la division sera le SS-Brigadeführer Fritz von Scholz, ancien chef du régiment beaucoup des personnels sont des vétérans, l'entraînement est achevé en août 1943, et la division déclarée opérationnelle. La division Nordland entre en action dès septembre dans le nord de la Croatie, pour combattre les partisans communistes de Tito. L'armistice italien qui tombe voit la division participer au désarmement de la 57° division italienne "Lombardie". Fin novembre la division quitte la Croatie pour le nord du front Est, assignée à la 18. 14 janvier 1944, le secteur Orienbaum sur le golfe de Finlande est attaqué par la 2° Armée de Choc soviétique. Inférieur numériquement, les allemands combattent à quatre contre un. La situation de la division devient critique suite à la défection d'une unité de la wehrmacht. Soumise à une forte pression, la division tient solidement ses lignes, parvenant même à lancer des contre attaques avec le régiment Norge. Après deux jours de durs combats, la division ainsi que la brigade Nederland sont contraintes de reculer sur la rivière Luga. Le 25 janvier, une attaque soviétique anéanti complètement le I./ Danmark. dans la soirée du 30 janvier, les unités allemandes sont forcées d'abandonner leurs positions pour se retirer sur la ligne - 45 Narva, Courlande et PoméranieEntre février et août 1944, les unités du III. germanisches SS-Panzerkorps réussissent à conserver leurs positions autour de Narva, en dépit de la pression continuelle exercée par l'Armée rouge. Les positions allemandes sont écrasées sous de perpétuelles bombardements d'artillerie, le plus dru tombant sur les positions tenus par la brigade Nederland. La division nordland dépechent alors des renforts pour maintenir les positions de cette brigade. Durant cette période de guerre de position, les unités les plus durement éprouvés, les I./ Norge et Danmark sont retirés du front et envoyés en Allemagne pur y être 22 juin 1944, l'Arme Rouge déclenche l'opération Bagration qui enfonce les lignes du Heeresgruppe Centre sur 400 kilomètres. Le front baltique du nord est maintenant en danger et menacé d'être complètement isoler. En juillet les positions allemandes sont reculées sur la ligne Tannenberg. Là , de nouveaux assauts sont repoussées au prix de lourdes pertes, dont le commandeur le de la division, le SS-Brigadeführer von Scholz, tué au cours d'un la mi septembre les forces allemandes en Estonie reçoivent l'ordre de reculer en lettonie. Le 23 septembre, la Nordland prend position au sud-est de Riga, ou elle participe à la défense de la ville. Le 6 octobre, le Heeresgruppe Nord, auquel est attaché la division retraite en direction de la Courlande, région située à l'ouest de la Lettonie. Le 12 elle prend position au sud de la poche et le 13 les derniers ponts sur la rivière Daugaua sont détruits et Riga abandonnée au 20 janvier 1945, l'Armée Rouge lance une nouvelle offensive, et la régiment Danmark est presque totalement anéanti. Il est décidé d'évacuer la très affaiblie division par mer en direction de l'Allemagne pour y être reconstituée. Embarquée à Libau, elle appareille le 28 janvier. Débarquée en Poméranie, elle est attachée à la 11. Panzerarmee du Heeresgruppe Steiner. A la mi février, le II. germanisches SS-Panzerkorps lance une offensive contre les flancs du 1er front russe de Zhukov dans la région de Arnswalde. Conçu sur un large front, l'offensive "Sonnenwende" est réduite par ordre de Hitler en contre attaque localisée. L'assaut de la division est un succès, elle repousse l'ennemi jusqu'au lac Ihna, secoure la garnison de Arnswalde et facilité l'évacuation de la population civile. Passé la surprise du premier choc, la résistance russe se durcit et le SS-Oberstgruppenführer Steiner décide finalement de retraiter. Le 28 février la nordland est de retour dans le région de Stargard - Stettin sur l' 1945 BerlinLe 1er mars 1945 l'Armée rouge déclenche le plus grand bombardement d'artillerie. Les défenseurs allemands reculent lentement devant la poussée des chars ennemis, et après une semaine de combat, la Nordland est repoussée jusqu'à l'Altdamm, dernier pont allemand sur la rive est de l'Oder. Le 14 mars, elle traverse la rivière et se retrouve dans la ville même. Au cours des jours suivant, les volontaires combattent dans les décombre d'Altdamm. Le 19 mars, elle est retirée des lignes et envoyée dans la région de Schwendt - Angermünde, 65 kilomètres au nord est de Berlin ou elle reçoit un contingent de renfort provenant pour la plupart de la Lutwaffe et de la finale russe est déclenchée le 16 avril. La Nordland est alors à l'est de la capitale avec le LXI. Panzerkorps. Dès le 18 avril elle est repoussée vers les faubourgs et intégré dans la garnison. Réorganisée en kampfgruppen, les volontaires nordiques battent en retraitent à travers Mahlsdorf, Biesdorf et Neukölln vers l'aéroport de Te mpel hof. Au plus fort des combats, le bataillon blindé Herman von Salza lance une contre attaque qui stoppe les soviétiques aux environs de Treptow. Un Panther du bataillon Herman von Salza .Cependant, lorsque la division reçoit l'ordre d'attaquer le 25 avril, son commandeur le SS-Brigadeführer Ziegler refuse de sacrifier une nouvelle fois ses hommes dans des actions inutiles. Il est relevé de son commandement et remplacé par le SS-Brigadefüherr Dr. Gustav Krukenberg, qui vient d'arriver avec 300 français de la division Charlemagne. Un 251 de la division détruit lors de la tentative de percée du 1er Mai 1er mai, les survivants combattent dans les ruines autour de la Chancellerie. Krukenberg autorise à tenter une percée que seule une poignée réussiront, le reste étant tué ou capturé dans les derniers jours de la résistance. Un Untersturmführer du régiment la patte de col solaire ,la bande de bras et le drapeau Norvégien sur la manche .Quelques informations diverses La division avait des pattes de col de plusieurs type Les runes classiques pour allemands ,la roue solaire pour les étrangers ,le drapeau danois pour le régiment Danmark et trois lions pour la régiment Norge . [img][/img]Une patte de col solaire . 27 hommes de la division Nordland seront décorés de la bande bras de la régiments de la Nordland portaient des titres honorifiques Le SS-Grenadier-Regt. 23 Norge Le SS-Grenadier-Regt. 24 DanmarkLa SS-Pz. Abt. 11 Hermann von SalzaLa division a commis un crime de guerre recensé Le massacre de 100 civils et partisans à Popovaca le 16 septembre 1943.[img][/img]Sources Axis historyWaffen-ss combattant sites et livres divers .Amicalement Victor.Ilrecrute des volontaires pour l'“Azad Hind”, la Légion “Inde Libre”. Les succès militaires allemands contre l'Union Soviétique, à partir de juin 1941, et contre les Britanniques en Afrique du Nord, encouragent Bose à former une “Légion indienne” en 1942, dont l'objectif est de libérer l'Inde avec l'aide des forces de l'Axe. Les quelque 3500 volontaires de la “Légion De jeunes SS à Berlin en 1938. Sur la dictature nazieLe nazisme et son Histoire Adolf Hitler, le fondateur du nazisme Le parti nazi Le Troisième Reich L'Allemagne nazie face à la crise de 1929 Les SS, une organisation policière et militaire Les SA, une organisation paramilitaire nazie La Gestapo, ou police politique nazie Les lois antisémites de Nuremberg en 1935 La Nuit de Cristal, prélude à la Shoah La Shoah, le génocide des juifs d'Europe Les doubles runesᛋ, emblème de la SS. En Allemagne de 1922 à 1945, la Schutzstaffel escadron de protection en français, plus connue par ses initiales SS, est une organisation du parti national socialiste. À l'origine, les membres de la SS étaient chargés de la protection rapprochée d'Adolf Hitler. Puis, à partir de 1934, ils parviennent à regrouper tous les organismes policiers et de renseignements allemands. Pendant la Seconde Guerre mondiale, ils sont chargés de la gestion des camps d'extermination. La SS va créer sa propre armée, la Waffen-SS, qui recrute de nombreux européens anti-communistes, et qui va combattre sur le front de l'est à partir de 1941 et en France au moment du débarquement de juin 1944. Au procès des dirigeants nazis qui se tient à Nuremberg de 1945 à 1946, la SS, surnommée l'Ordre noir», est condamnée comme organisation criminelle. Sommaire 1 Origines de la SS 2 Rôle policier de la SS 3 La SS et l'univers concentrationnaire nazi 4 La Waffen-SS 5 Le jugement de la SS 6 Voir aussi Lien externe Origines de la SS[modifier modifier le wikicode] Créés en 1922, comme garde personnelle de Hitler, les SS participent au putsch raté de Munich en novembre 1923. Ils sont reconstitués en 1924 dès qu'Hitler sort de prison. Deux cents hommes servent de protection pour Hitler et de moyens de police à l'intérieur du parti nazi. À partir de janvier 1929, Heinrich Himmler est nommé chef des SS. Il freine le recrutement afin d'en préserver la qualité raciale » les SS doivent prouver qu'ils ont des ancêtres aryens au moins depuis le XVIIIe siècle et leur mariage n'est possible qu'avec l'accord de leurs chefs. Au moment de la prise du pouvoir par Hitler en janvier 1933, les SS sont environ 30 000. Ce sont eux qui, en juin 1934, sont chargés de tuer les chefs des SA pendant la nuit des Longs Couteaux. À la même époque ils remplacent les SA pour la surveillance des camps de concentration nazis. Rôle policier de la SS[modifier modifier le wikicode] De police interne au parti nazi, la SS va vite devenir la police politique de l'État allemand. En leur attribuant des grades honorifiques dans la SS celle-ci s'attache des policiers, des magistrats, des hauts fonctionnaires, des industriels, des membres de l'Université. Au cours de leurs activités professionnelles ces membres restés dans le civil », et qui ne portent qu'exceptionnellement l'uniforme de couleur noire, pourront repérer les déviants » et propager les idées nazies les plus extrêmes. Cela permet à la SS de contrôler progressivement une bonne partie de l'appareil d'État et de la production allemande. Créé par la SS en 1931, le SD, service de renseignement interne au parti nazi, va devenir en 1933, dès la prise du pouvoir, le service de renseignement de l'État allemand. Himmler place à sa tête Reinhard Heydrich. Dès la déclaration de guerre, en septembre 1939, le SD est renforcé puisque la Gestapo, la police criminelle d'État lui sont adjointes pour former le RSHA qui poursuit et renforce les activités de ses composantes, toujours sous la direction d'Heydrich. L'appareil policier de la SS compte 240 000 personnes en 1939. Il est réduit à 40 000 après l'entrée en guerre, une partie des membres étant affectée aux autres branches de l'organisation. La SS et l'univers concentrationnaire nazi[modifier modifier le wikicode] Le travail dans les camps d'extermination. Auschwitz Une branche de la SS, les Totenkopfverbände "unités tête de mort", qui portent le dessin d'une tête de mort sur leurs uniformes, gère, dès 1934, les camps de concentration et à partir de 1942 les camps d'extermination. Ils sont environ 30 000 hommes et femmes. Cette activité permet un enrichissement de l'organisation. Elle loue les prisonniers aux industriels allemands qui en font la demande afin de remplacer les jeunes allemands mobilisés par la guerre. De plus la SS est propriétaire d'entreprises où elle emploie les prisonniers briqueteries, manufactures de porcelaine, usines d'embouteillage d'eau minérale, etc. Dans les camps des médecins SS se livrent à des expériences sur des prisonniers vivants afin de tester la nocivité de certains produits chimiques ou pour voir le résultat des modifications anatomiques qu'ils opéraient sur l'organisme humain. À partir de l'été 1941, la SS construit les camps d'extermination afin de mettre la solution finale à la question juive» décidée par les dirigeants nazis l'extermination des slaves était également programmée mais ne put être concrétisée à cause de la défaite de l'Allemagne. Les camps ouvrent au printemps 1942. Elle organise les rafles des juifs, des tsiganes, des homosexuels et des handicapés à travers l'Europe occupée, et organise les moyens de transports vers les camps dont elle assure également la surveillance et la direction. Elle utilise les déportés les plus aptes physiquement pour des travaux forcés qui causent beaucoup de morts par épuisement. Tous ceux qui sont jugés inaptes à rendre un service utile au Reich malades, vieillards, femmes, enfants sont mis à mort notamment dans des chambres à gaz pour les camps qui en sont équipés ou jamais nourris, et leurs corps détruits au moyen des fours crématoires. Les vêtements, les objets de valeur ou d'usage courant, les cheveux dont la SS a dépouillé ses victimes sont commercialisés. La Waffen-SS[modifier modifier le wikicode] Les étrangers dans la Waffen-SS, ici les Wallons Soldats de la Waffen-SS. Ils se différencient des soldats de la Wehrmacht par leurs runes SS sur le col et l'aigle sur le bras gauche. En dehors de la Waffen-SS, les membres de la SS ont un uniforme noir. Au début de la Seconde Guerre mondiale, la SS crée une branche militaire, la Waffen-SS, d'abord composée exclusivement d'Allemands. À partir de juin 1941, entrée en guerre de l'Allemagne contre l'URSS, la Waffen-SS s'ouvre aux étrangers y compris aux slaves, pourtant considérés comme des sous-hommes par l'idéologie hitlérienne. Ainsi, durant la deuxième moitié de la guerre, la majorité des membres de la branche militaire de la SS ne sont pas allemands. Cela vient du fait que la Wehrmacht étant l'armée régulière du Troisième Reich, il fallait la nationalité allemande pour s'y engager; de ce fait les hommes venant de pays occupés souhaitant combattre aux côtés de l'Allemagne étaient obligés de s'engager dans une force paramilitaire, donc la SS. Ces étrangers forment des divisions nationales Charlemagne pour les engagés français, Wiking pour les norvégiens, Wallonie pour les Belges francophones, Galicie pour les ukrainiens, etc. La Waffen-SS comporte 38 divisions dont des divisions de chars, elle est soumise aux ordres du haut-commandement allemand mais ses officiers sont des SS et non des militaires de carrière. Par le fanatisme de bon nombre de ses membres et son entraînement parfois très poussé, la Waffen-SS forme l'élite de la force militaire du Troisième Reich. Elle jouera un grand rôle sur le front soviétique où elle combattra la résistance que lui opposent les partisans et se livrera à des massacres de populations civiles. Elle sera aussi à l'origine de crimes en France au moment du débarquement de Normandie. Son rôle est important dans la bataille des Ardennes pendant l'hiver 1944-1945. Le jugement de la SS[modifier modifier le wikicode] En 1945-1946, au procès de Nuremberg contre les dirigeants civils et militaires nazis, la SS est condamnée comme organisation criminelle ayant commis un génocide, des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité. Voir aussi[modifier modifier le wikicode] Lien externe[modifier modifier le wikicode] La Seconde Guerre mondiale De Nuremberg à Nuremberg 52° 30′ 26″ N 13° 22′ 57″ E / Trouverla affiche de recrutement de propagande allemande vintage pour la waffen ss photo idéale Une vaste collection, un choix incroyable, plus de 100 millions d’images LD et DG abordables de haute qualité. Pas besoin de vous inscrire, achetez dès maintenant !
Edition en français-allemand de deux brochures publiées pendant la guerre pour la promotion des volontaires non-allemand dans la Waffen-SS et consacrée plus spécialement à la Division Wiking. Album relié, cousu, format 210X295, papier couché semi-mat 135 grammes, 148 pages. Edition limitée limitée à 500 exemplaires. Au moment historique où la faillite de l'idée européenne libérale devient un fait que l'on ne peut plus contester, la réédition en un volume des deux ouvrages publiés sous la direction du SS-Obersturmbannführer Franz Riedweg pendant la guerre est un hommage à ces précurseurs de l’idée européenne que furent les Waffen-SS, qui eut pour source la nécessité de défendre le continent européen contre la menace bolchevique. L'alliance des ploutocraties occidentales et de la Russie stalinienne rendait nécessaire celle de toutes les authentiques forces européennes. Quelques rares esprits lucides l'ont compris très tôt, avant même le tournant de la guerre, la défaite de Stalingrad, à partir de laquelle il devenait évident que l'Allemagne seule ne pouvait plus vaincre. L'extension du recrutement de la Waffen-SS a été une réponse trop tardive et trop pragmatique pour pouvoir être efficace et permettre la conscience vive d'un héritage commun à défendre. Le Suisse Franz Riedweg en fut l'un le grand pionnier et il fit tout ce qu'il put pour insuffler à la Waffen-SS cet esprit européen qui devait préserver les peuples d'Europe. L'héritage résidait pour Franz Riedweg dans la germanité, une unité de chair et de sang, plus que dans le germanisme, qui était encore trop l'expression politique du vieil Etat-Nation prussien. Les cahiers dont il dirigeait la rédaction devaient former la conscience politique, dans le noble sens du terme, évocateur des intérêts supérieurs des peuples, des soldats de race germanique, les nouveaux gardiens du Saint Empire romain germanique et de la liberté de ses peuples, pour qu'ils dressent un rempart contre la barbarie soviétique. Il concevait la défense de l'Europe comme une geste chevaleresque. La poésie de sa conception européenne transparaît magnifiquement dans les volumes rassemblés, où l'image est reine et où le texte fait plus figure d'illustration. Franz Riedweg avait une haute intelligence de la beauté comme instrument de la conscience politique. Il faut saluer la splendide collaboration d’Erna Lendvai Dircksen, qui a su faire de la photographie le nouveau genre artistique pour exprimer l'âme de la race dans les visages d'un peuple, qui dépassait les Gau de l'Allemagne pour resplendir sur les terres norvégiennes, danoises, hollandaises et flamandes. Franz Riedweg a eu au plus haut point l'intuition de la prégnance du sang dans l'identité européenne. Il faut se laisser guider par les instants paysans, artisans ou guerriers, les paysages, les vestiges de l'histoire qui projettent une lumière qui ne peut mourir.
LĹ’uvre française, une longue marche sous le signe de la croix celtique Temps de lecture : 9 min. Nicolas Lebourg — 21 novembre 2014 Ă 7h29. Poursuivis pour reconstitution de ligue dissouteL’Algemeene-SS Vlaanderen Ă©tait la branche flamande de l’Allgemeine SS pendant l'occupation allemande de la Belgique. Elle fut fondĂ©e en septembre 1940 par Ward Hermans et RenĂ© Lagrou, ce dernier en Ă©tant le premier dirigeant. Elle fut Ă©galement dĂ©nommĂ©e par la suite Germaansche SS in Vlaanderen. Histoire L'organisation est constituĂ©e le 30 septembre 1940[1] par Herman van Puymbroeck, Ward Hermans et RenĂ© Lagrou. En dĂ©cembre 1940, Lagrou prend la direction de l'organisation, sans doute grâce Ă ses relations au SD[2] et Hermans devient le rĂ©dacteur en chef de son journal de propagande, De SS-Man. Hermans est remplacĂ© cinq mois plus tard par Maurits van de Walle[2]. Affiche de recrutement pour la LĂ©gion flamande La crĂ©ation de l’Algemeene-SS Vlaanderen, et plus gĂ©nĂ©ralement la prĂ©cocitĂ© et l'importance de la collaboration de certains milieux flamands, est favorisĂ©e par la prĂ©sence en Flandre de mouvements d'extrĂŞme droite, comme le Vlaams Nationaal Verbond VNV, et par la politique flamande des autoritĂ©s allemandes d'occupation[1][3]. La première action de l' Algemeene-SS Vlaanderen est de lancer une campagne de recrutement pour la Waffen-SS et d'organiser des actions antisĂ©mites contre la communautĂ© juive d'Anvers[2]. Largement soutenue par l'organisation fasciste DeVlag qui souhaite les valeurs germaniques » du â…˘e Reich tout en gardant une Flandre indĂ©pendante, l' Algemeene-SS Vlaanderen est aussi utilisĂ©e pour composer le personnel de l'unitĂ© anti-juive des services de sĂ©curitĂ©[rĂ©f. nĂ©cessaire]. La SS gĂ©nĂ©rale flamande traduction libre d' Algemeene-SS Vlaanderen n'est pas d'un intĂ©rĂŞt militaire » crucial mais reprĂ©sente une manière dont l'Allemagne tente d’étendre et de croĂ®tre son influence notamment en prĂ´nant le pangermanisme et l'idĂ©ologie SS parmi les nations conquises mais aussi pour former un contrepoids de mainmise Ă la très puissante VNV qui, elle, demande une intĂ©gration totale au â…˘e Reich[4]. Non officiellement, Heinrich Himmler demande l'utilisation de cette organisation pour pĂ©nĂ©trer la Belgique occupĂ©e qui est sous le contrĂ´le de l’armĂ©e rĂ©gulière[1] gouvernement d'occupation de la Wehrmacht et non du parti ou de la SS. Jef de Langhe succède Ă RenĂ© Lagrou Ă la tĂŞte de la SS gĂ©nĂ©rale flamande en fĂ©vrier 1941, ce dernier partant pour le Front de l'Est[2]. MalgrĂ© l'apparence du leadership flamand, la SS gĂ©nĂ©rale flamande est sous le contrĂ´le de la SS gĂ©nĂ©rale allemande et plus particulièrement du reprĂ©sentant du ReichsfĂĽhrer en Flandre, le SS-BrigadefĂĽhrer Konstantin Kammerhofer remplacĂ© plus tard par le SS-BrigadefĂĽhrer Richard Jungclaus[2]. La SS gĂ©nĂ©rale flamande a Ă sa tĂŞte Raf Van Hulse nommĂ© Standaardleider en place de Jef de Langhe[2]. En 1942, une rĂ©organisation de l' Algemeene-SS Vlaanderen dĂ©bouche en premier temps sur un changement de nom Germaansche SS in Vlaanderen[5]. Par la suite, Ă l’intĂ©rieur de la SS germanique en Flandre libre traduction de Germaansche SS in Vlaanderen est créé le Vlaanderen Korps aussi appelĂ© Flandern Korps[5],[2]. Cette sous-unitĂ© est composĂ©e uniquement des personnes âgĂ©es de plus de 35 ans et ou mesurant moins d’1,70 m et forme une rĂ©serve » Ă la branche principale[5]. Ces critères physiques sont les minimums » requis pour la SS gĂ©nĂ©rale que dĂ©sire servir une grande majoritĂ© des volontaires de la SS germanique en Flandre. L'influence de la SS germanique en Flandre augmente durant le cours de la guerre et l’entente avec DeVlag grandit. C’est le cas notamment lorsque la SS germanique en Flandre Ă©tablit les Beschermde Leden version flamandisĂ©e des Fördernde Mitglieder, traduit librement par membres protĂ©gĂ©s ou membres privilĂ©giĂ©s dont sont issus bon nombre des membres de DeVlag[2]. Cette première phase de rĂ©organisation se termine lorsque son dirigeant Raf van Hulse demande sa migration en tant que SS-Kriegsberichter librement traduit par correspondant de guerre SS »[2]. La SS germanique en Flandre se retrouve commandĂ©e par Jef François qui, lui, revient du Front de l'est oĂą il a servi dans la LĂ©gion flamande[2]. Le SS-BrigadefĂĽhrer Richard Jungclaus ordonne Ă Jef François, ancien responsable de la DMO Dinaso Militanten Orde, de rĂ©organiser la SS germanique en Flandre Ă cette image et discipline[2]. S’entame alors la deuxième phase de rĂ©organisation. En octobre 1942, Gottlob Berger constate que la SS germanique en Flandre est victime » d’un manque d’intĂ©rĂŞt gĂ©nĂ©ral et ce malgrĂ© de nombreux mouvements de collaboration et ne peut Ă©tablir une grande diffĂ©rence en Flandre. Son attention est alors portĂ©e vers DeVlag. Main dans la main avec la SS germanique en Flandre, le leader de DeVlag Jef van de Wiele dĂ©clare que cette première et son organisation partagent les mĂŞmes luttes et idĂ©ologies. Il ordonne Ă tous les membres Ă©minents de la DeVlag de rejoindre la SS germanique en Flandre et Antoon van Dijck standaardleider nouvellement nommĂ© exige que tous les membres de cette dernière rejoignent la DeVlag ; moulant et calquant les deux organisations. En rĂ©sultat de cette symbiose avec la DeVlag, le statut de la SS germanique en Flandre change de politique » Ă un pĂ´le militaire »[2]. De plus en plus suivant l’optique de militarisation, les membres sont utilisĂ©s pour la garde[notes 1]. Ce statut militaire a Ă©tĂ© soulignĂ© Ă©galement lors de l'Ă©tĂ© 1943, la direction de la SS germanique en Flandre tombe dans les mains de jeunes officiers de la Waffen-SS qui viennent de terminer la SS-Junkerschule Tölz. D’autres rĂ´les tels la surveillance et les reprĂ©sailles contre les combattants et rĂ©sistants au joug nazi sont aussi entre les mains de cette organisation. Le 4 dĂ©cembre 1942, le responsable du sturmbanne â…˘/â… , August Schollen, est tuĂ© Ă Bruxelles. Rob Verbelen, responsable du sturmbanne â…Ł/â… rĂ©agit et le venge. C'est le dĂ©but d'une guerre sanglante entre la Germaansche SS in Vlaanderen et la rĂ©sistance Ă l'occupant. Rob Verbelen Ă©tait avant la fusion DeVlag et l'organisation le fondateur de DeVlag-Veiligheidskorps / DeVlag-Sicherheitskorps librement traduit par DeVlag corps de sĂ©curitĂ© / DeVlag corps de sĂ»retĂ©. Le moulage entre les deux organisations incorporant la prĂ©-nommĂ©e. L'unitĂ© Ă©tait alors chargĂ©e de la protection des Beschermde Leden contre une invasion alliĂ©e[2]. Cependant comme il le montre dans la rĂ©pression de l'assassinat d'August Schollen, il a d'autres objectifs pour cette sous unitĂ© DeVlag-Veiligheidskorps travaille Ă©troitement avec la SiPo et est toujours prĂ©sente dans les actions contre les rĂ©sistants[2]. La SS germanique en Flandre a aussi Ă©tĂ© un pĂ´le de recrutement»[1] fondĂ© sur le volontariat pour la division Waffen-SS Langemarck ou de la LĂ©gion flamande via le VNV combattant tous deux sur le front de l'Est. En novembre 1943, Antoon Tony van Dijck est responsable de la SS germanique en Flandre jusqu'Ă la LibĂ©ration. Les membres de la SS germanique en Flandre s'Ă©chappent en Allemagne oĂą l'organisation est dissoute. Les membres restant de la SS germanique en Flandre seront incorporĂ©s dans la Waffen-SS. Structure La SS germanique en Flandre est divisĂ©e en quatre subdivisions rĂ©gionales[6] nommĂ©es Sturmbannes Sturmbanne â… Anvers Anvers, Malines et Geel Sturmbanne â…ˇ Flandre-Orientale Gand, Saint-Nicolas, Eeklo et Aalst Sturmbanne â…˘ Flandre-Occidentale Roulers, Bruges, Courtrai et Ostende Sturmbanne â…Ł Brabant-Limbourg Bruxelles, Louvain, Hasselt et Neerpelt Commandement SS-HauptsturmfĂĽhrer RenĂ© Lagrou 7 dĂ©cembre 1940 - 10 mai 1941 SS-HauptsturmfĂĽhrer Jef De Langhe 10 mai 1941 - 1er septembre 1941 SS-HauptsturmfĂĽhrer Raf Van Hulse 1er septembre 1941 - 1er septembre 1942 SS-ObersturmfĂĽhrer Jef François 1er septembre 1942 - 9 novembre 1943 SS-UntersturmfĂĽhrer Antoon Tony Van Dijck 9 novembre 1943 - 15 novembre 1944 RĂ©fĂ©rences ↑ a b c et d voir nl Collaboratie in Vlanderen, § De Algemeen SS-Vlaanderen ↑ a b c d e f g h i j k l m et n voir en M. Vanhoof, Germaansche SS in Vlaanderen, ↑ Hugo Gijsels trad. Nadine Laurent, Le Vlaams Blok, Bruxelles, L. Pire Editions, 1993, 262 p. ISBN 978-2-930001-09-8, OCLC 30462346, p. 21 ↑ voir nl Collaboratie in Vlanderen, § Het Vlaams Nationaal Verbond VNV ↑ a b et c en Robin Lumsden et Paul Hannon, The Allgemeine-SS, Londres, Osprey, coll. Men-at-arms series » no 266, 1993, 48 p. ISBN 978-1-85532-358-2, OCLC 836806829, p. 41 ↑ voir en J. Mullholland, The Allgemeine-SS unit headquarters Miscellaneous Allgemeine-SS units, Notes ↑ voir le Fort de Breendonk nl Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en nĂ©erlandais intitulĂ© Algemeene-SS Vlaanderen » voir la liste des auteurs. en Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en anglais intitulĂ© Algemeene-SS Vlaanderen » voir la liste des auteurs. Voir aussi Ligue nationale flamande Collaboration en Belgique LibĂ©ration de la Belgique et des Pays-Bas Germanique SS Le2 aoĂ»t, rĂ©pondant aux appels de Habib Meyer et Éric Ciotti, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a accusĂ© la gauche d'antisĂ©mitisme. Son gouvernement ne cesse pourtant de passer Eh eh si tu plonges dans le bordel bureaucratique du IIIe Reich tu ne t'en sortiras jamais... L'appareil sĂ©curitaire du IIIe Reich Ă©tait tentaculaire, avec de nombreuses administrations, d'innombrables polices, Wehrmacht c'est l'armĂ©e allemande classiqueLa SS c'est un terme très vaste qui dĂ©signe l'Etat dans l'Etat qu'a constituĂ© l'appareil sĂ©curitaire du parti nazi il ne faut pas oublier que l'Etat et le Parti ne font plus qu'un. Au dĂ©but c'Ă©tait les gardes du corps personnels d'Hitler mais ils ont rapidement grandit en importance et en compĂ©tences jusqu'Ă devenir tout l'appareil sĂ©curitaire du Reich et a avoir leur propre armĂ©e. Waffen-SS, SS tĂŞte de mort, SD, Gestapo, RHSA office central de sĂ©curitĂ© du Reich, KriPo la police criminelle etc.,tout ça c'est la SS. Alors bien sĂ»r il y a des subtilitĂ©s. Ainsi les divisions de la Waffen-SS sont des SS, mais ils sont soumis Ă la hiĂ©rarchie militaire de la Einsatzgruppen sont officiellement des groupes de police militarisĂ©e, donc composĂ© en majoritĂ© de policiers de la SS ainsi que de collabos, chargĂ© d'appliquer la politique criminelle du Reich derrière les divisions rĂ©gulières qui mettent bien souvent la "main Ă la pâte"
Decette force, qui passera de 23 000 hommes en 1938 à 600 000 combattants en 1944, Jean-Luc Leleu nous propose la première histoire complète. Cette histoire.
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