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Accueil / France / Occitanie / Herault Les lieux d'interêts Hérault Théâtre Saint-Jean-de-Védas 34430 Parc et jardin Balaruc-les-Bains 34540 Bibliothèque / Médiathèque Puilacher 34230 Bibliothèque / Médiathèque Lieuran-Cabrières 34800 Bibliothèque / Médiathèque Saint-Félix-de-Lodez 34725 Batiment remarquable Brissac 34190 Bibliothèque / Médiathèque Pinet 34850 Sites religieux Saint-Privat 34700 Lieu de mémoire Lodève 34700 Sites religieux Corneilhan 34490 Batiment remarquable Bédarieux 34600 Bibliothèque / Médiathèque Caux 34720 Château, Site de défense Villemagne-l'Argentière 34600 Bibliothèque / Médiathèque Lespignan 34710 Sites religieux Saint-Julien 34390 Batiment remarquable Saint-Chinian 34360 Bibliothèque / Médiathèque Cazouls-lès-Béziers 34370 Sites archéologiques, vestiges Murviel-lès-Montpellier 34570 Bibliothèque / Médiathèque Pignan 34570 Lieu de mémoire Alignan-du-Vent 34290 Bibliothèque / Médiathèque Montpellier 34000 Château, Site de défense Clermont-l'Hérault 34800 Parc et jardin Adissan 34230 Lieu de mémoire Sète 34200 Bibliothèque / Médiathèque Bélarga 34230 Théâtre Montpellier 34000 Batiment remarquable Béziers 34500 Batiment remarquable Laroque 34190 Batiment remarquable Cazouls-lès-Béziers 34370 Château, Site de défense Cessenon-sur-Orb 34460 Théâtre Saint-Jean-de-Védas 34430 Parc et jardin Balaruc-les-Bains 34540 Musée Murviel-lès-Montpellier 34570 Bibliothèque / Médiathèque Lodève 34700 Château, Site de défense Montoulieu 34190 Sites religieux Béziers 34500 Bibliothèque / Médiathèque La Boissière 34150 Parc et jardin Soumont 34700 Bibliothèque / Médiathèque Fontès 34320 Lieu de mémoire Bassan 34290 Batiment remarquable Montpellier 34000 Bibliothèque / Médiathèque Mèze 34140 Lieu de mémoire Sauvian 34410 Bibliothèque / Médiathèque Ganges 34190 Sites religieux Bédarieux 34600 Musée Cessenon-sur-Orb 34460 Parc et jardin Balaruc-les-Bains 34540 Bibliothèque / Médiathèque Lamalou-les-Bains 34240 Bibliothèque / Médiathèque Montblanc 34290 Bibliothèque / Médiathèque Azillanet 34210 Sites religieux La Tour-sur-Orb 34260 Bibliothèque / Médiathèque Béziers 34500 Bibliothèque / Médiathèque Sète 34200 Bibliothèque / Médiathèque Lunel 34403 Parc et jardin Prades-le-Lez 34730 Sites religieux Aniane 34150 Sites religieux Saint-Chinian 34360 Sites religieux Villeneuve-lès-Maguelone 34750 Parc et jardin Balaruc-les-Bains 34540 Château, Site de défense Valros 34290 Parc et jardin Lunel-Viel 34400 Bibliothèque / Médiathèque Agde 34300 Sites religieux Alignan-du-Vent 34290 Sites religieux Lespignan 34710 Parc et jardin Sérignan 34410 Bibliothèque / Médiathèque Ceyras 34800 Bibliothèque / Médiathèque Servian 34290 Lieu de mémoire Corneilhan 34490 Château, Site de défense Lavérune 34880 Batiment remarquable Montpellier 34000 ...
Aulendemain du départ de l'incendie qui s'est déclaré dans l'Hérault, la situation s'est améliorée, selon les pompiers. "Le feu n'est pas encore fixé mais ne
Accueil Hérault Toute l’actu de l'Hérault et ses 343 communes. L’Hérault est un département de la région Occitanie dont le chef-lieu est Montpellier. Des régions naturelles comme le Massif Central, les zones de garrigues et le Languedoc viticole marquent le paysage du territoire Héraultais. Le département est fort de ses sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco l’Abbaye de Gellone et les chemins de Saint-Jacques de Compostelle et de 3 de ses villages inscrits aux Plus Beaux Villages de France Saint-Guilhem-le-Désert, Minerve et Olargues. Côté sorties, l’Hérault offre de nombreuses possibilités comme le festival de musique électronique I Love Techno à Montpellier, le Fiesta’Sète à Sète ou encore le Coeur de ville en lumière, spectacle historique de son et lumière de Montpellier. Le secteur économique du département repose sur l’agriculture, la viticulture, l'oléiculture mais aussi la conchyliculture. Côté sport, l’Hérault s’illustre au rugby à XV avec le Montpellier Hérault rugby et au football avec le Football Club de Sète 34 et le Montpellier Hérault Sport Club. Ainsi qu'au handball avec, toujours, l'équipe de Montpellier. Parmi les personnalités célèbres originaires de l’Hérault, on peut citer Paul Valéry, Georges Brassens, Boby Lapointe, Michel Galabru ou Rémi Gaillard. Actualités Élections Sports Immo Annonces légales Avis de décès Solidarité 24H Saint-Pierre Record battu pour la cinquième édition Solidarité. Palavas-les-Flots a accueilli la cinquième édition des 24H Saint-Pierre. Une année record en nombre de participants mais surtout au niveau des dones récoltés plus 435 000 euros au bénéfice de la fondation Saint-Pierre. Agenda des sorties Cinéma Cinéma Cycle Valérie "Basic Instinct" Thriller 2h10, VOST, interdit aux moins de 12 ans de Paul Verhoeven, avec Sharon Stone, Jeanne... Montpellier 29/08/2022 Balades et randonnées Balades et randonnées Visite guidée street art, vue d'ensemble Apprenez à regarder la ville différemment... en regardant tout autour de vous ! D'immenses... Montpellier 29/08/2022 Animations Animations Atelier peinture intuitive Venez plongez dans les couleurs et laissez émerger les formes qui veulent se dire pour réaliser... Lodève 29/08/2022 Faits divers Sète un homme de 89 ans héliporté vers Montpellier Faits divers. Il se baignait dans l'anse du Lazaret lorsqu'il a été victime d'un malaise. Football Football vainqueur à Lyon, le FC Sète se donne de la confiance pour la suite Football. Les hommes de Nicolas Le Bellec se sont imposés 1-0 face à la réserve de l’OL, ce samedi 27 août pour la deuxième journée de N2. Gastronomie et Terroir Agde le palmarès des championnats du monde de moules farcies à l'agathoise Gastronomie et Terroir. Une vingtaine de participants, treize amateurs et sept cuisiniers professionnels, ont pris part au concours ce dimanche, au Vieux-Port. Montpellier HSC Ligue 1 Montpellier rebondit sur la pelouse de Brest avec un très large succès 7 à 0 Montpellier HSC. Après le revers concédé le week-end passé à domicile face à Auxerre 1-2, le MHSC a rebondi de la meilleure des manières avec un large succès 7 à 0 ce dimanche 28 août sur la pelouse du Stade Brestois à l'occasion de... Télé-médias Il y a 50 ans à Sète maux d'été Télé-médias. Chaque jour, des extraits d'archives de l'édition Midi Libre de Sète. Aujourd'hui le 30 août 1972. Football Ligue 1 Jullien lancé dans le grand bain, pas Slimani, découvrez les compositions de Brest-MHSC Football. Le défenseur Christopher Jullien, dernier renfort montpelliérain, va débuter en charnière centrale face à Brest, où l'attaquant Slimani sera sur le banc au coup d'envoi, ce dimanche 28 août. Télé-médias Il y a 50 ans à Sète les joies du camping Télé-médias. Chaque jour, des extraits d'archives de l'édition Midi Libre de Sète. Aujourd'hui le 28 août 1972. Sécurité Cap d'Agde dispositif de sécurité exceptionnel pour la venue de Jul ce dimanche soir à L'Amnesia Sécurité. Plus d'une centaine d'hommes va filtrer les accès à l'île des Loisirs dès le début de la soirée. Animaux Pour Tony Sylvestre, "le manque d’éducation des chiens, c’est 50 % des abandons" Animaux. Cofondateur d’Esprit Dog, Tony Sylvestre était hier matin au parc Montcalm à Montpellier pour une première tournée solidaire. L'édition abonnés Profitez des avantages exclusifs abonnés Accès réservé aux contenus premium site et appli Journal numérique disponible dès 6h00 Abonnement dès 1€, sans engagement Avantages et privilèges du Club Abonnés En savoir plus La newsletter L'Essentiel de Midi Libre
10Kviews, 581 likes, 115 loves, 37 comments, 280 shares, Facebook Watch Videos from WomanSurvivor: Fais attention à toi 梁 Il se peut que ce qui t’a détruit dans le passé continue encore de Fais attention à toi 🥺 Il se peut que ce qui t’a détruit dans le passé continue encore de t’influencer aujourd’hui.
Elections régionales et départementales 2021 Le voile porté par une candidate LREM sur une affiche pour les élections départementales dans l’Hérault a été dénoncé par le patron du parti. Ses colistiers, eux, évoquent un non-sujet » mais n’attaquent pas frontalement leur propre camp. La lecture des articles est réservée aux abonnées. Se connecter Leurs téléphones vibrent en permanence. Des appels, des SMS. Beaucoup de journalistes mais aussi des messages de soutien, y compris de députés de La République en marche ». Hélène Qvistgaard et Mahfoud Benali, candidats LREM pour les départementales dans le premier canton de Montpellier et 15e de l’Hérault, se disent stupéfaits » par l’ampleur de la polémique. 1€ pour 15 jours Résiliable en ligne à tout moment Je m’abonne L’info part de là Soutenez un journal 100% indépendant sans subventions, sans publicités, sans actionnaires Tirez votre information d’une source de confiance Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation Déjà abonné ? Newsletters Découvrez les newsletters de Mediapart Recevez directement l’info de votre choix Quotidienne, Hebdo, Alerte, À l’air libre, Écologie, Enquête ... Je découvre Aujourd’hui sur Mediapart Gauches — Reportage Diplomatie — Note de veille Surveillance — Enquête par Crofton Black, Gabriel Geiger et Riccardo Coluccini Lighthouse Reports Voir la Une du Journal
Visiterl' Hérault et les lieux incontournables du département. Découvrez les choses à faire et les endroits à voir dans l'Hérault, les infos pratiques, la carte du département.. / page 2. Réservez Réservez votre voyage. Anglais Accueil; Lieux d'intérêt. Aix en Provence
À 11 h au centre de vaccination contre la variole du singe du CeGidd, à Montpellier, en fin de matinée au centre de soins non programmés de l'hôpital Saint-Loup à Agde, et l'après-midi aux urgences et à la maison médicale de garde de l'hôpital de Béziers, pour finir par l'inauguration de la clinique Saint-Jean à Saint-Jean de Védas le ministre de la Santé François Braun, ancien président de Samu Urgences de France effectue ce mardi un long déplacement dans l'Hérault, au cœur d'un été présenté comme celui de tous les dangers pour le système de santé, à bout de souffle faute de s'être adapté, épuisé par deux ans et demi de Covid. À l'heure des grands chantiers, le ministre ouvre des pistes. Monsieur le ministre, l'été touche à sa fin a-t-il été serein dans nos hôpitaux et nos cliniques, alors qu'un certain nombre de craintes exprimées en mai et juin dernier sur la capacité à prendre en charge les patients, notamment aux urgences, ce qui a fait l'objet de la "mission flash" que vous avez pilotée ? J'aimerais pouvoir dire que l'été touche à sa fin mais ce n'est pas le cas. Les mesures d'urgence, les mesures "flash" sont fonctionnelles jusqu'à fin septembre,nous avons encore un mois compliqué devant nous. Le temps des conclusions n'est pas encore venu. Effectivement pour l'instant, et je rends hommage aux professionnels de terrain mais aussi à l’ensemble des agents du ministère, qui ont vraiment fait preuve d’un engagement total pendant ces premiers mois pour rendre ces mesures opérationnelles, la situation semble plutôt stable, voire en légère amélioration après le 15 août pour les services d'urgences. Mais la situation reste difficile. Elle reste difficile dans les maternités, difficiles au niveau de la psychiatrie. Nous ne sommes pas complètement sortis de cette période compliquée qui justifie pleinement, s’il en était besoin, une rénovation de notre système de santé. Celle-ci apparaît encore plus indispensable. Y a-t-il eu un fonctionnement en mode "dégradé", pour utiliser le vocable des soignants, où les choses ont-elles été fluides ? Pour l'instant, je n'ai pas eu d'échos ou de difficultés particuliers concernant la prise en charge des patients. C'est ma première préoccupation celle que nos concitoyens aient une réponse à leurs besoins de santé. Je ne partage pas le terme "dégradé" ce n'est pas parce qu'on change un mode de fonctionnement qu'il est dégradé. Ce qui reste essentiel, c'est que les urgences "absolues", les urgences vitales, soient toujours assurées. C'est bien le cas, comme j’ai l’occasion de m’en rendre compte chaque semaine sur le terrain. Après, il y a un changement de parcours des patients qui peuvent être pris en charge autrement la régulation médicale peut être faite par le Samu ou à l'entrée des services d'urgences, qui n'ont plus la capacité de tout faire, et de suppléer à l'ensemble du système de santé. Nos collègues libéraux s'organisent très bien, de manière différente, d'un territoire à l'autre, pour venir en soutien des services d'urgences et reprendre leur activité de soins non programmés qu'ils avaient eu un peu, c'est vrai, tendance à laisser au service des urgences. "Trois à quatre personnes sur dix viennent aux urgences alors qu'elles pourraient être prises en charge ailleurs" Faudra-t-il se résoudre à fonctionner ainsi à l'avenir, ne pas se rendre systématiquement aux urgences comme cela a été expérimenté en Occitanie cet été, ou est-ce inenvisageable au-delà ? La problématique des services d'urgences, que je connais bien, est double il y a ceux qui viennent aux urgences alors qu'ils pourraient être pris en charge ailleurs, cela représente trois à quatre personnes sur dix. Et puis il y a la problématique des personnes qui "stagnent" aux urgences parce qu'on ne trouve pas de lits d'hospitalisation rapidement pour les hospitaliser. Pour, à l'avenir agir sur ces deux facteurs de dysfonctionnement des urgences, pour le bien des patients et des soignants, il faut agir sur ces deux leviers l'amont, c'est la régulation médicale. Je ne vois pas pourquoi ce qui a été mis en place ne serait pas pérennisé si cela fonctionne. La régulation médicale entraîne une meilleure prise en charge des patients. Quand vous avez une angine ou quand vous avez mal au genou, vous êtes mieux pris en charge par un généraliste. Puis il y a cette problématique de l'aval, pour laquelle des mesures ont été proposées, comme par exemple l'accueil de patients âgés directement dans les services. Des outils différents ont été mis en place. On va pouvoir en évaluer l'efficacité fin septembre. Et là aussi, il faudra aussi agir sur cet aval. Comme je le répète souvent, les services d'urgences ne sont que la partie émergée de l'iceberg des difficultés d'un système de santé et c'est bien sur l'ensemble des difficultés que je compte agir. Avec, pour finir sur les urgences, des problèmes de saturation du 15 selon les régions... Les informations que j'ai, qui me sont remontées par les Samu eux-mêmes, ne font pas état de ces délais délirants qu'on a pu lire dans la presse. Les appels sont pris en charge par un assistant médical dans la minute et sont ensuite réorientés, et c'est dans la réorientation vers un médecin généraliste qu'il peut y avoir des délais d'attente qui sont beaucoup plus longs. Mais il faut être très clair on ne parle pas là d'urgence vitale. Il faut là aussi attendre les résultats de septembre pour un bilan complet. D'ores et déjà, la supposée augmentation d'appels au 15 pendant l'été, + 20 % évoqués dans la presse, existe déjà depuis le mois de janvier. Ce n'est pas un effet de l'été. Les zones touristiques ont eu plus d'appels mais c'est normal, ça veut dire que nos concitoyens ont bien entendu le message et l'appliquent. Mais il n'y a pas d'explosion des passages aux urgences, ça montre donc que c'est efficace. Enfin, les équipes de télémédecine accompagnées par une infirmière sont aussi particulièrement efficaces elles évitent globalement deux-tiers de passages aux urgences. On voit bien que cet apport de la régulation médicale est plutôt positif sur le dispositif. Est-ce que l'automne sera apaisé dans les hôpitaux, dans un contexte qu'on a vu difficile, avec des équipes fatiguées, des rancœurs sur les augmentations de salaires du Ségur soit jugées insuffisantes, soit inexistantes pour certains... les choses restent-elles compliquées à l'aube, peut-être, d'une nouvelle vague épidémique de Covid ? Notre système de santé est malade. Et ce n'est pas avec des incantations pendant trois mois qu'on va régler le problème. C'est tout l'intérêt de cette concertation des parties prenantes qui va démarrer en même temps que le Conseil national de la refondation porté par le président de la République et qui va permettre de revoir l'organisation de notre système de santé. Nous avons un système de santé qui est aujourd'hui basé sur l'offre de soins et non pas sur les besoins de santé de la population. C'est cette transformation que je veux conduire avec les soignants, bien sûr, mais aussi avec les soignés et avec les élus. "Il y aura en fin d'année des mesures extrêmement précises et opérationnelles" Les consultations ont déjà démarré ? Nous avons commencé à travailler au niveau du ministère bien sûr. Depuis que je suis arrivé, j’échange avec l'ensemble des parties prenantes professionnelles. Nous allons commencer début septembre la consultation de nos concitoyens sous différentes formes. Cela doit nous permettre de prendre en fin d'année des mesures extrêmement précises et opérationnelles. Début 2023, les territoires auront ainsi accès à une boîte à outils. Monsieur le ministre, est-ce que le constat on ne le connaît pas déjà ? Il faut poser la question aux députés Nupes qui trouvent que les diagnostics n'existent pas puisqu'ils retournent faire des diagnostics. Mais ça vous agace ? Après avoir annoncé que la mission flash ne sert à rien parce que les diagnostics sont connus, vouloir aller dans les hôpitaux pour faire les mêmes diagnostics... c'est peut-être une agitation inutile ou non opérationnelle. Plus sur des critères politiques que sur la volonté de faire avancer les choses. Vous avez raison, je pense que les grands éléments du diagnostic sont connus, mais vous savez, moi, je reste humble et prudent parce que nos concitoyens font remonter des problèmes, des solutions, qu'on n'a pas forcément en tête. Je pense que c'est toujours bien de leur demander leur avis. La mission flash a déjà proposé des outils, j'en ai d'autres, il faut aussi voir s'ils ne sont pas théoriques, c'est pour cette raison que je continue les déplacements pour aller voir ce qui se fait sur le terrain car c'est de là que remonteront les solutions. Pour être très concret ? Il serait particulièrement malvenu de donner des solutions alors que les consultations sont en cours et qu’une phase d’écoute des Français va débuter. Des solutions, il y en a toujours plein, on a vu dans la mission flash qu'il ne suffit pas d'avoir de grandes incantations, il faut creuser les sujets. Ce que je peux vous dire, c'est que l'égalité d'accès à la santé est ma priorité. Toutes les décisions que je serai amené à prendre iront dans ce sens. Avec une logique qui restera toujours la même et qui est ma ligne de conduite écouter, agir et évaluer pour voir s'il y a une réelle utilité. "Il faut que les soignants fassent du soin et pas de la paperasse" Mais peut-on envisager d'augmenter par exemple le nombre des soignants dans les hôpitaux ? On peut aller partout. Il faudrait déjà pouvoir remplir les postes vacants dans nos hôpitaux. Et comprendre pourquoi les gens quittent ces formidables métiers du soin. Je veux redonner du sens à ces métiers, c'est ça qui est important. Dans le programme d'Emmanuel Macron, il y avait déjà des choses sur la diminution des tâches bureaucratiques pour que les soignants fassent du soin et pas de la paperasse. Votre visite dans l'Hérault, ce mardi, s'inscrit dans cette recherche de solutions innovantes sur le territoire ? Oui, il y a des choses innovantes partout, et ça me réjouit. Je vais venir voir le centre de soins non programmés de l'hôpital Saint Loup, par exemple, la maison médicale de garde à Béziers, une clinique de Montpellier qui s'est investie... sur le terrain, je vois que les gens ont pris les choses en main. Vous visitez le public comme le privé, pas forcément au CHU du Montpellier ? Je passerai par un service du CHU de Montpellier, le CeGIDD. La responsabilité est collective, pour le public comme pour le privé, les CHU comme les hôpitaux, et c'est en travaillant ensemble comme on l'a fait pendant le Covid, que nous allons pouvoir redresser notre système de santé. Au CeGIDDid de Montellier, on vaccine contre la variole du singe... est-ce que l'expérimentation qui a été menée dans les pharmacies et qui a reçu un avis favorable de l'Académie va être élargie ? Moi, je veux être pragmatique et répondre aux besoins. Actuellement, quelle est la situation ? La France est le pays européen le plus mobilisé dans la gestion de cette crise, l'OMS vient de nous reconnaître d'ailleurs comme exemplaires, tant par la réalisation extrêmement précoce, car nous sommes un des trois pays à avoir mis en place cette vaccination préventive, que par la gratuité de la vaccination comme des tests. Aujourd'hui, nous avons libéré plus de 100 000 doses du stock stratégique et 46 800 personnes ont été vaccinées en France, ce qui nous place dans les tout premiers pays au ratio de la population, c'est 3000 injections par jour, sur 188 lieux de vaccination, vous voyez qu'on couvre très largement le territoire national. Il y a une expérimentation en cours dans cinq officines, une évaluation plus précise sera conduite à la fin du mois. On répond actuellement à la demande, il y a des créneaux disponibles partout en France. S'il devait y avoir un rebond, on adapterait notre stratégie par cette possibilité ouverte aux pharmacies. Aujourd'hui, on en est à 2890 cas recensés en France. Vous n'avez pas d'inquiétude particulière, de signaux alarmants ? Pour les épidémies, nous savons depuis deux ans et demi qu'il faut être humble et prudent. Nous surveillons ça de manière précise. La proportion d'hospitalisation reste très faible. Sur le Covid, va-t-on vers une nouvelle obligation vaccinale en automne ? Déjà, aujourd'hui, nous connaissons la fin de la septième vague, avec une diminution importante des contaminations, avec un "R" à 0,6, et des hospitalisations. Notre nouveau comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires signale qu'il va y avoir un rebond avec un nouveau pic en automne, nous aurons bien entendu une campagne de vaccination, sur les mêmes publics cibles, les plus de 60 ans. La haute autorité de santé sera à nouveau saisie dès qu'il y aura une augmentation du nombre de cas, et je me fierai à l'avis des scientifiques pour voir quelle est la population cible à vacciner. C’est ce que nous avons fait depuis le début de la crise et cela ne changera pas. "Des vaccins plus adaptés à Omicron arrivent" Avec de nouveaux vaccins ? On a l'arrivée de vaccins plus adaptés à Omicron et de vaccins bivalents. J'attends là aussi l'avis des autorités scientifiques pour l'utilisation de ces vaccins en France. Mais il est fort probable que nous pourrons vacciner avec ce type de vaccin plus adapté à la circulation du BA5, le variant qui circule actuellement. Envisagez-vous de conseiller de remettre les masques en espace clos avec les premiers froids ? L'obligation dépendra de l'évolution de l'épidémie, bien entendu. Maintenant, je fais appel à la conscience et à la responsabilité de nos concitoyens. Quand nous sommes sur des lieux où nous sommes les uns sur les autres, il vaut mieux porter le masque, ça protégera les plus fragiles du Covid, et aussi de la grippe, c'est une bonne habitude à prendre et un réflexe qui est bien connu des Français désormais. Quid des réintégrations des soignants non vaccinés, c'est toujours "non", comme l'a conseillé il y a un mois la haute autorité de santé ? Vous avez répondu. Je suis l'avis de la haute autorité de santé, mais pas que, de l'Académie de médecine, ou des conseils de l'ordre. Je suis cet avis, et s'il devait changer, j'aurais peut-être une analyse différente. "L'obligation d'installation est une mauvaise solution" Trois dernières questions, plutôt sur les problématiques de territoire allez-vous prendre à bras-le-corps cette question des déserts médicaux sur laquelle on a quasiment tout essayé, le salariat, les incitations financières... que peut-on faire d'autre, à part obliger les jeunes médecins à s'installer sur ces territoires ? L'obligation d'installation des jeunes est une mauvaise solution. Non pas parce que ça ne leur ferait pas plaisir mais parce que ça ne marche pas. C'est une vraie fausse bonne solution. Je prends cette problématique des déserts médicaux très à cœur, je suis ministre de la santé et de la prévention, je suis aussi ministre des déserts médicaux. Je n'ai pas envie qu'ils persistent. Cette inégalité territoriale n'est plus acceptable. Il y a des solutions, et il n'y a pas deux déserts médicaux identiques à Lunel, ce n'est pas la même chose que dans le quart nord-est de la France, ni en Bretagne. En la matière, l'habitude que nous avons de faire des solutions pyramidales, qui descendent d'en haut et qui s'appliquent partout n'est pas une bonne solution, ça ne marchera pas. Il y a plusieurs choses qu'il faut mettre en place, dans une temporalité différente. On a vu que les assistants médicaux, mis en place dans le cadre de "ma santé 2022", permettent d'augmenter de 10 % la clientèle d'un médecin, c'est énorme. On a eu le chiffre au début de l'été. 500 000 de nos concitoyens ont ainsi trouvé un médecin traitant. Il faut accélérer ce développement, c'est essentiel. À moyen terme, nous n'allons pas obliger les jeunes médecins à faire des stages dans les zones sous denses, nous allons les faciliter. C'est parfois une simple question de logement... les élus que j'ai rencontrés y sont sensibles. Le meilleur moyen pour qu'ils s'installent là, c'est qu'ils y fassent des stages très tôt. Je suis persuadé que ça peut fonctionner. Bien entendu, le numerus clausus nous donne la possibilité d'augmenter le nombre d'étudiants en médecine. Et il y a d'autres outils, la télé-expertise, la téléconsultation... On a un panel de solutions qui va encore s'enrichir, mais il n'y a pas de solutions miracle à la désertification médicale contrairement à ce que certains veulent nous faire croire. Croire cela, c'est mentir aux Français. Certaines de ces solutions agiront très rapidement, d'autres dans quinze ans, comme les parcours d'excellence que je veux mettre en place pour les jeunes issus de ces territoires sous dotés pour leur donner envie de faire ces études, leur expliquer que ce n'est pas impossible, qu'on les aidera. Il n'y a pas de désert médical, il y a des déserts tout court. Et enfin, dernière solution, dans la libération du temps médical, il y a le transfert d'actes et de temps médical à un professionnel de santé sous la coordination d'un médecin. Ne pas trouver de médecin traitant ou attendre un an pour un rendez-vous chez un dermatologue, ce n'est donc pas inéluctable ? Absolument pas. Nous sommes dans cette situation parce que nous avons un système de santé basé sur l'offre et non pas sur la réponse aux besoins. Et nous avons tous une responsabilité collective. Ce week-end, aux portes de Montpellier, il a encore fallu 11 h à une famille pour faire constater un décès, la même situation s'est produite en juin à Sète, c'est un symptôme de quoi, des déserts médicaux ? C'est une situation qui est inacceptable pour la famille, déjà, et donc pour moi. Ce n'est malheureusement pas nouveau. Il est bon de rappeler que dans le code de déontologie, le respect de la personne s'étend au-delà de la vie. Cela fait partie des situations où le besoin de santé n'est pas couvert. Des territoires ont trouvé des solutions. C'est une responsabilité collective. Si elle n'est pas assumée, je saurai prendre les décisions qui s'imposent. Qu'est-ce qui change quand on passe de la présidence du collectif Samu urgences de France, qui dénonce des dysfonctionnements, à la place de ministre ? On voit notre système de santé de manière différente. C'est extrêmement motivant. Je comprends mieux certaines choses. Si je n'avais pas l'espoir de changer les choses, je ne serais pas à ce poste. Quand on est urgentiste, on n'a pas peur de grand-chose. J'irai au bout, au moins de mes convictions et de ce que je crois être bon pour la santé des Français. Lessoldats du feu restent mobilisés face à l' incendie de végétation méditerranéenne qui s'est déclenché mardi à une vingtaine de kilomètres de Montpellier ( Hérault) « ne progresse Ainsi aujourd’hui, le Pays Coeur d’Hérault réalise un travail de coordination dans pratiquement tous les domaines qui préoccupent les habitants ou usagers du Coeur d’Hérault : . La création d’emplois ou d’activités économiques grâce à la Pépinière d’entreprises multimodale au sein de l’Agence de développement

Quefaire dans l'Hérault: les lieux les plus populaires, que visiter, que voir dans l'Hérault, photos et vidéos - 39

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